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2025-10-03 09:52:58	The new Raspberry Pi OS based on Debian 13 “Trixie” just got announced, and I’ve already had…	Completed	2025-10-03 09:59:13	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>Le nouveau Raspberry Pi OS basé sur Debian 13 “Trixie” vient d’être annoncé, et j’ai déjà eu l’occasion de l’essayer. Du bureau rafraîchi au nouvel outil de configuration, c’est une mise à jour intéressante qui améliore subtilement l’expérience utilisateur. Voici ce que vous devez savoir à son sujet.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Le 2 octobre 2025, Raspberry Pi OS (Trixie) a été annoncé. Il introduit un nouveau thème visuel, une application Centre de Contrôle centralisée, et un système de paquetage plus modulaire qui rend la personnalisation plus facile que jamais.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans cet article, je vais vous présenter les principaux changements, montrer comment ils fonctionnent dans des tests réels, et vous aider à décider s’il vaut la peine de passer à cette version maintenant.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Trixie sur Raspberry Pi : ce que vous devez savoir</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Tous les deux ans, <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-os-versions/" data-type="post" data-id="13288">Raspberry Pi OS bénéficie d’une grande mise à jour</a> lorsque Debian publie une nouvelle version stable, donc <a href="https://www.raspberrypi.com/news/trixie-the-new-version-of-raspberry-pi-os/">cette annonce</a> n’est pas du tout une surprise. Cette fois, nous passons de Bookworm à Trixie, basée sur Debian 13.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44834,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none"} --> <figure class="wp-block-image size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/10/rpios-trixie-wallpaper.jpg" alt="" class="wp-image-44834"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Bien que le système de base soit plus à jour dans les coulisses, voici les changements les plus notables pour les utilisateurs de Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Nouveau thème visuel</strong> : Mise à jour des thèmes GTK (PiXtrix et PiXonyx), des icônes, des fonds d’écran, et d’une police moderne (Nunito Sans Light).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Centre de contrôle</strong> : Une seule application pour gérer tous vos paramètres système, remplaçant la Configuration Raspberry Pi, l’apparence, les imprimantes, et plus encore.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Emballage modulaire</strong> : Il est maintenant beaucoup plus facile de construire votre propre image du système d’exploitation Raspberry Pi ou de convertir entre les installations Lite et Desktop.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Mise à jour de la bibliothèque</strong> : Les titres récents montrent un icône de verrou et peuvent être déverrouillés plus tôt si vous êtes abonné.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Nouveaux utilitaires</strong> : Des outils comme rpi-keyboard-config et rpi-keyboard-fw-update ont été ajoutés pour améliorer la gestion du clavier.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Travail sur LXPanel</strong> : Le panneau classique a été dupliqué et nettoyé (maintenant appelé lxpanel-pi) pour mieux correspondre à la nouvelle interface.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Correction de l’heure pour 2038</strong> : En interne, l’heure est maintenant stockée comme une valeur de 64 bits (pas quelque chose que vous remarquerez maintenant, mais c’est une préparation pour l’avenir).</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --><!-- wp:paragraph --> <p>Voilà pour le résumé. <br>Dans les sections suivantes, je vais vous montrer à quoi ça ressemble, comment ça fonctionne et comment en tirer le meilleur parti.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Changements visuels : Une nouvelle expérience de bureau</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>La première chose que vous remarquerez après l’installation de Trixie, c’est son look mis à jour. C’est subtil mais soigné, et c’est un changement bienvenu après des années à utiliser le même thème de bureau.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>J’ai toujours dit que Raspberry Pi OS avait l’air dépassé, donc je ne vais pas critiquer ce pas dans la bonne direction. C’est toujours assez simple, je suppose que c’est volontaire, mais cela semble certainement plus moderne que la version précédente.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44832,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/10/rpios-trixie-interface.jpg" alt="" class="wp-image-44832"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Il utilise une nouvelle police, Nunito Sans Light, et des icônes plates, et tout semble plus raffiné. Si vous utilisiez déjà Raspberry Pi OS, vous ne serez pas perdu ; considérez-le comme une remise à niveau générale.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme à chaque mise à jour majeure, le fond d’écran par défaut a été mis à jour. Il est superbe en mode clair et en mode foncé (oui, il y a un mode foncé natif dans les options).</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":44835,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none"} --> <figure class="wp-block-image size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/10/rpios-trixie-dark-mode.jpg" alt="" class="wp-image-44835"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Un petit changement pratique est que la barre des tâches peut désormais supporter des plugins mis à jour, comme c’était le cas avec Bullseye et les versions précédentes. Par exemple, si vous voulez surveiller l’usage de votre CPU, vous pouvez ajouter le petit gadget à votre barre des tâches.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Globalement, c’est la version la plus belle de Raspberry Pi OS jusqu’à présent. L’environnement de bureau répond enfin aux attentes modernes. Il n’est pas tape à l’oeil, ce qui est important car il sera utilisé dans les écoles sur différents modèles, mais il est simple et propre.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Centre de Contrôle: Simplifier la Configuration</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Jusqu’à présent, la configuration de Raspberry Pi OS était un véritable casse-tête. Il y avait pratiquement un outil pour chaque paramètre (configuration principale, affichage, apparence, etc.). Si vous êtes habitué aux distributions modernes avec Gnome ou KDE, il était bien plus compliqué de trouver quoi que ce soit.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Bien, ils ont finalement rassemblé tous les paramètres dans une seule application: le “centre de contrôle” (oui, écrit à la mode britannique…).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le “Centre de Contrôle” est organisé par onglets sur la gauche, classés par ordre alphabétique:</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Défauts</strong>: Où vous pouvez changer les paramètres d’affichage en un clic en fonction de la taille de votre écran (grand, moyen, petit).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Bureau</strong>: Fond d’écran et raccourcis de bureau.<br><img decoding="async" class="wp-image-44836" style="width: 600px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/10/rpios-trixie-desktop-settings.png" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Affichage</strong>: Arrêt de l’écran et clavier à l’écran.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Interfaces</strong>: L’onglet habituel où vous pouvez activer ou désactiver des services comme SSH, VNC, SPI/I2C, etc.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Clavier</strong>: Changez la disposition et quelques autres paramètres.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Localisation</strong>: Locale, fuseau horaire, pays sans fil, et clavier (même option que dans l’onglet précédent).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Souris</strong>: Pour le changement de main et la configuration de la vitesse.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Performance</strong>: Surimpression et limite de courant USB.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Imprimantes</strong>: Même outil que dans les versions précédentes, mais inclus ici pour gérer vos imprimantes.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Écrans</strong>: De la même manière, la résolution et la configuration des moniteurs ne sont pas disponibles ici.<br><img decoding="async" class="wp-image-44838" style="width: 600px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/10/rpios-trixie-screens-config.png" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Système</strong>: Le premier onglet de l’outil de configuration précédent, avec mot de passe, nom d’hôte et options de démarrage, ainsi que le navigateur web par défaut.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Barre des tâches</strong>: Taille, position et couleurs.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Thème</strong>: Changer entre le mode sombre/lumineux, couleurs principales & réglages de police.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Donc, la bonne nouvelle est que tout est maintenant dans cet outil mega, où vous pouvez tout et n’importe quoi configurer sans vous demander quel outil ouvrir.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Mais pour être honnête, c’est loin d’être parfait. Pour l’instant, ça ressemble plus à un patchwork de tous les outils avec des raccourcis dans le menu à gauche plutôt qu’à une révolution:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Le défilement du menu à gauche n’est pas le meilleur. Ce n’est pas aussi fluide que la barre de défilement sur GNOME/KDE.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Il y a trop d’entrées sur la gauche. Beaucoup pourraient être regroupées.</li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>L’ordre alphabétique actuel n’est pas la meilleure idée. Il serait préférable d’avoir les onglets les plus importants en haut. Des choses comme le système, les interfaces et l’affichage.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ce serait bien d’avoir une fonction de recherche, comme sur la plupart des systèmes modernes.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Donc, encore une fois, c’est un pas dans la bonne direction, mais ça reste un peu maladroit pour l’instant. Peut-être qu’ils travailleront à l’améliorer dans les prochaines versions maintenant que la base est là.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Premières impressions avec Raspberry Pi OS Trixie</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Après avoir passé du temps avec Trixie sur un Raspberry Pi 5, l’expérience générale semble plus fluide et plus polie que Bookworm. Les nouveaux visuels sont propres, le Centre de Contrôle est une amélioration bienvenue (même s’il est un peu brut), et tout a fonctionné comme prévu dès le départ.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En ce qui concerne les performances, je n’ai pas remarqué de ralentissement ou d’instabilité. Il démarre rapidement, les applications se lancent vite, et le bureau est réactif.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ce n’est pas trop surprenant, puisque je l’ai testé sur un Raspberry Pi 5. La différence est probablement plus évidente sur les modèles plus anciens avec moins de RAM. Mais j’aurai besoin de plus de temps avec pour évaluer correctement l’impact sur les performances, surtout sur les modèles plus anciens.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Beaucoup de changements mentionnés dans l’annonce ne sont pas visibles ou importants pour l’utilisateur de bureau typique, donc je ne rentrerai pas dans les détails ici. Mais nous avons vu par le passé que ces changements viennent souvent avec des bugs inattendus ou affectent nos projets. Encore une fois, cela nécessitera du temps pour les référencer et trouver des solutions.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous rencontrez des problèmes ou si vous avez votre propre expérience à partager, veuillez <a href="https://raspberrytips.com/school/community/" data-type="page" data-id="26547">poster sur la communauté RaspberryTips</a> pour que nous puissions en parler.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Comment obtenir Raspberry Pi OS Trixie</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Comment installer Raspberry Pi OS Trixie</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous êtes prêt à essayer Trixie, vous la trouverez déjà en option par défaut sur Raspberry Pi Imager : </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44845,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/10/rpios-trixie-in-imager.png" alt="" class="wp-image-44845"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Le processus d’installation est le même qu’avec la version précédente, vous pouvez donc suivre notre guide si vous avez besoin d’aide pour l’installer sur votre Raspberry Pi:<br></strong><a href="https://raspberrytips.com/install-raspbian-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="587">Installer Raspberry Pi OS sur Raspberry Pi (Guide illustré)</a></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Je recommande fortement de le tester sur une nouvelle carte SD. Vérifiez si vos applications sont disponibles et fonctionnent. Essayez quelques projets avec et voyez comment ça se passe.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Comment passer de Bookworm à Trixie</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous avez déjà une configuration et que vous souhaitez passer à la dernière version, <strong>il est préférable de ne pas faire de mise à niveau sur place</strong> (<a href="https://raspberrytips.com/upgrade-raspberry-pi-os-bookworm/" data-type="post" data-id="20419">modifier les paramètres APT pour obtenir la nouvelle version depuis le dépôt</a>).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>L’équipe de Raspberry Pi a elle-même dit :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:quote --> <blockquote class="wp-block-quote"><!-- wp:paragraph --> <p>“Nous ne recommandons ni ne soutenons la tentative de mise à niveau d’une image Bookworm en cours d’exécution… Vous le faites à vos propres risques, et vous ne devriez même pas envisager cela sans avoir fait une sauvegarde préalable.”</p> <!-- /wp:paragraph --></blockquote> <!-- /wp:quote --> <!-- wp:paragraph --> <p>La meilleure approche consiste à recommencer à zéro : installez tout sur une autre carte SD (ou quel que soit le stockage que vous utilisez), et réinstallez ce que vous aviez dans la configuration précédente, en déplaçant les données d’un système à l’autre en cours de route.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cela prend plus de temps qu’une mise à niveau, mais cela en vaut la peine pour éviter les conflits cachés et vérifier étape par étape que tout fonctionne comme prévu.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Devriez-vous mettre à jour maintenant ?</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si vous utilisez votre Pi en production (serveurs, projets importants, etc.), le plus sûr est d’attendre un peu.</strong> Même la couche Debian est encore assez nouvelle à ce stade.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous utilisez simplement votre Pi comme un ordinateur de bureau, ou que vous voulez essayer les nouveaux visuels et outils, allez-y. Trixie semble stable et réactif dans mes tests. Mais comme toujours, faites une sauvegarde d’abord, et ne basculez pas tout tant que vous n’avez pas confirmé que cela fonctionne pour votre cas.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>À partir de maintenant, nous allons utiliser Trixie pour tous les nouveaux projets et tutoriels sur RaspberryTips, et nous vous tiendrons au courant si vous trouvez des bugs cachés. Mais pour les nouveaux projets, vous pouvez l’essayer en toute sécurité.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":7885} /-->
2025-09-29 12:48:02	I’ve tried a bunch of ways to turn my Raspberry Pi into a media center over the years, but Libre…	Completed	2025-09-29 12:56:18	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>J’ai essayé de multiples façons de transformer mon Raspberry Pi en centre multimédia au fil des années, mais LibreELEC se démarque vraiment. Il est super léger et conçu uniquement pour faire tourner Kodi. Si vous voulez le configurer rapidement et facilement, je vais vous guider étape par étape.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>LibreELEC est disponible dans Raspberry Pi Imager, il peut donc être facilement installé sur une carte SD à l’aide de cet outil. Cependant, pour obtenir la dernière version, il est recommandé de télécharger l’image manuellement depuis le site officiel.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Commençons par un récapitulatif de tout ce dont vous aurez besoin. Ensuite, je vous expliquerai les étapes d’installation et vous donnerai quelques conseils pour bien commencer.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":19563} /--> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Prérequis pour faire tourner LibreELEC sur Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:image {"id":44469,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/libreelec_splash.jpg" alt="" class="wp-image-44469"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous ne savez pas vraiment ce que signifie avoir votre propre serveur multimédia? Si c’est le cas, consultez: <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-media-center-guide/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-media-center-guide/">Raspberry Pi comme centre multimédia: Guide complet pour les débutants</a>!</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Une fois que vous vous êtes familiarisé, voici ce dont vous aurez besoin pour installer LibreELEC pour votre centre multimédia.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Matériel</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>LibreELEC est une distribution légère, avec un système d’exploitation minimal suffisant pour exécuter Kodi, donc vous n’avez pas besoin d’un modèle Pi spécifique ou de matériel particulier. Voici un résumé de ce que vous devriez avoir avant de commencer :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Un Raspberry Pi compatible</strong>: Vous pouvez trouver une version de LibreELEC pour la plupart des modèles, mais un modèle récent est recommandé pour installer la dernière version. Quand je dis “récent”, je veux dire Raspberry Pi 3, 4 / 400, ou 5 / 500. J’utiliserai <a href="https://raspberrytips.com/amz/pi4" target="_blank" rel="noreferrer noopener">mon Raspberry Pi 4</a> pour cela, mais utilisez ce que vous avez à disposition.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Une carte SD rapide et grande</strong> : Avoir suffisamment de stockage est important, cependant. Si vous prévoyez de stocker beaucoup de photos ou de films dessus, je recommande de commencer avec une grande carte SD, afin de ne pas avoir à vous soucier de manquer de stockage trop tôt. Ma marque préférée est SanDisk (<a href="https://raspberrytips.com/best-sd-card-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="3947">testé ici</a>), et pour ce projet, je recommanderais <a rel="noreferrer noopener" href="https://www.amazon.com/dp/B0B7NYN3N3/" data-type="link" data-id="https://www.amazon.com/dp/B0B7NYN3N3/" target="_blank">cette carte SD sur Amazon</a> (rapide, fiable, abordable et avec suffisamment de stockage pour durer un moment).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Une bonne alimentation</strong> : comme pour tous les projets Raspberry Pi, surtout en utilisant les modèles récents, assurez-vous d’utiliser une alimentation compatible. L’utilisation d’un câble USB ou d’un chargeur de téléphone n’est pas recommandée, car vous ne voulez pas que votre film s’arrête en plein milieu. Je recommande toujours l’alimentation officielle si possible. Vous pouvez <a href="https://raspberrytips.com/how-to-power-a-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="8202">découvrir pourquoi dans cet article si nécessaire</a>.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>(Facultatif) Une télécommande</strong> : pour un projet de centre multimédia, une télécommande pour naviguer facilement dans les menus est utile. Ce n’est pas obligatoire, mais je recommande généralement <a rel="noreferrer noopener" href="https://amazon.com/dp/B01NBRBWS6/" data-type="link" data-id="https://amazon.com/dp/B01NBRBWS6/" target="_blank">l’adaptateur USB de télécommande Flirc</a> + n’importe quelle télécommande universelle (<a rel="noreferrer noopener" href="https://www.amazon.com/dp/B0831TXQJJ/" data-type="link" data-id="https://www.amazon.com/dp/B0831TXQJJ/" target="_blank">comme la Harmony ici</a>).<br>Mais c’est bien si vous êtes d’accord pour utiliser votre souris et votre clavier sur votre canapé tout en regardant des films (<a rel="noreferrer noopener" href="https://raspberrytips.com/amz/keyboard" target="_blank">j’utilise ce clavier avec un pavé tactile</a>).</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Logiciel</h3> <!-- /wp:heading --><!-- wp:paragraph --> <p>Comme expliqué dans l’introduction, vous avez essentiellement deux façons d’installer LibreELEC sur votre Raspberry Pi:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>(Facile) Raspberry Pi Imager</strong>: LibreELEC est maintenant disponible directement dans Raspberry Pi Imager, vous pouvez donc simplement l’installer comme Raspberry Pi OS ou tout autre système. Sachez juste que la version répertoriée ici est généralement un peu dépassée. Ce n’est pas grave, vous pouvez la mettre à jour après l’installation pour obtenir les dernières fonctionnalités. <a href="https://www.raspberrypi.com/software/" data-type="link" data-id="https://www.raspberrypi.com/software/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Vous pouvez le télécharger ici</a> si vous ne l’avez pas encore.<br></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>(Recommandé) Téléchargez la dernière version depuis le site officiel</strong> : Voici <a href="https://libreelec.tv/downloads/raspberry/" data-type="link" data-id="https://libreelec.tv/downloads/raspberry/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">la page de téléchargement</a>. Assurez-vous simplement d’obtenir l’image correspondant à votre modèle de Raspberry Pi.<br><img decoding="async" class="wp-image-44465" style="width: 650px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/latest_libreelec_version_2025.jpg" alt=""><br></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>(Troisième option)</strong> Vous pouvez télécharger l’outil de création de clé USB LibreELEC depuis le site officiel. Mais il n’est disponible que pour Windows et Mac, et n’ajoute pas grand chose par rapport à Imager. <img decoding="async" class="wp-image-44466" style="width: 650px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/libreelec_usb_creator.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --><!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Note : Si vous avez besoin du Wi-Fi, vous devriez choisir la méthode recommandée</strong> <strong>ci-dessus </strong>car l’image par défaut sur Imager est plus ancienne et contient un bug qui ne permet pas de se connecter correctement aux réseaux Wi-Fi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Au fait, j’ai toute une série de vidéos pour les membres de la communauté sur ce sujet. Si vous débutez ou souhaitez améliorer votre installation multimédia, <a href="https://raspberrytips.com/school/community/" data-type="page" data-id="26547">vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Comment installer LibreELEC sur Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Maintenant que vous avez tout ce dont vous avez besoin, voici les prochaines étapes pour installer LibreELEC sur votre Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Utilisez Raspberry Pi Imager pour installer l’image sur une nouvelle carte SD.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Insérez la carte SD dans le Raspberry Pi et démarrez-le.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Suivez les instructions pour la configuration initiale.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Accédez à l’interface complète de Kodi pour faire ce que vous voulez à partir de là !</strong></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Examinons cela en détail, et je vous donnerai quelques conseils supplémentaires une fois le système installé.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Écriture de l’image LibreELEC</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Que vous téléchargiez l’image LibreELEC ou que vous souhaitiez utiliser directement Raspberry Pi Imager, les étapes pour l’installer sur votre carte SD sont presque identiques :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Lancez Raspberry Pi Imager.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur <strong>Choisir OS</strong>.<br>Si vous avez téléchargé la dernière image, faites défiler jusqu’au bas de la liste, cliquez sur <strong>Utiliser Custom</strong> et sélectionnez le fichier que vous avez téléchargé.<br>Si vous préférez utiliser la version incluse dans Raspberry Pi Imager, allez à <strong>Media Player OS</strong> > <strong>LibreELEC</strong>, et choisissez la version correspondante à votre modèle de Raspberry Pi :<br><img decoding="async" class="wp-image-44467" style="width: 600px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/imager_libreelec_2025.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur <strong>Choisir Stockage</strong> et sélectionnez votre carte micro SD pour l’installation.<br>Elle apparaîtra une fois insérée dans votre ordinateur. Vous aurez probablement besoin d’un adaptateur SD (<a href="https://www.amazon.com/dp/B0047WZOOO/" data-type="link" data-id="https://www.amazon.com/dp/B0047WZOOO/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">comme celui-ci</a>) ou même <a href="https://www.amazon.com/dp/B01JJ1VDQK/" data-type="link" data-id="https://www.amazon.com/dp/B01JJ1VDQK/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">d’un adaptateur USB</a> si votre ordinateur n’a pas de slot SD.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur <strong>Suivant</strong> pour démarrer l’installation.<br>Après quelques secondes, les fichiers sont écrits sur la carte SD, et nous pouvons continuer.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>(Si vous avez besoin de plus de conseils, j’ai un <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-imager-guide/" data-type="post" data-id="11264">guide complet sur Raspberry Pi Imager</a> ici.)</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>L’image de LibreELEC est très légère, donc même avec une connexion lente, son installation sur votre carte SD devrait être assez rapide.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Configuration du Raspberry Pi</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une fois la carte SD prête, il est temps d’utiliser le Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Branchez-le à votre écran ou à votre téléviseur</strong> avec le bon câble HDMI (essayez d’éviter les adaptateurs si possible, surtout pour un centre multimédia).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Insérez la carte SD</strong> dans l’emplacement de la carte SD.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Branchez les autres accessoires</strong> (je suppose que vous avez au moins un clavier ou une télécommande).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ensuite seulement, <strong>branchez l’alimentation</strong> pour le démarrer.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --><!-- wp:paragraph --> <p>Attendez quelques secondes que le Raspberry Pi démarre, et vous devriez rapidement voir quelque chose sur votre écran. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Premier démarrage avec LibreELEC</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Lorsque vous démarrez LibreELEC pour la première fois, un assistant de bienvenue vous guide à travers les premières étapes :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>La première étape consiste à <strong>changer la langue (si nécessaire)</strong>, et cliquer sur <strong>Suivant</strong> :<br><img decoding="async" class="wp-image-19924" style="" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/09/libreelec-welcome.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>L’étape suivante vous permet de <strong>changer le nom d’hôte</strong>. Vous pouvez probablement garder celui par défaut, sauf si vous prévoyez d’avoir plusieurs LibreELECs sur le même réseau.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Après cela, vous serez invité à <strong>configurer le réseau Wi-Fi</strong>. <br>C’est important si vous n’avez pas un câble Ethernet à côté de votre téléviseur. J’utilise un câble pour le test, mais connectez-le à votre Wi-Fi à partir de là si nécessaire: <br><img decoding="async" class="wp-image-19925" style="" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/09/libreelec-welcome-wifi.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Vous pouvez ensuite <strong>activer SSH et Samba si nécessaire</strong>.<br>Je recommande d’activer au moins Samba, afin que vous puissiez envoyer des fichiers multimédias directement de votre ordinateur vers le Raspberry Pi.<br><img decoding="async" class="wp-image-44471" style="width: 600px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/libreelec_ssh_samba.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur <strong>Suivant</strong> pour terminer la configuration initiale.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous aurez maintenant accès à l’interface complète de Kodi, où vous pouvez faire tout le reste.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":19927,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/09/libreelec-kodi-interface-1024x481.jpg" alt="" class="wp-image-19927"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Premiers pas avec LibreELEC sur Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Je vais maintenant vous donner quelques conseils pour commencer rapidement avec LibreElec, mais pour être clair, ce sont des conseils pour Kodi. LibreELEC n’est que le système d’exploitation qui tourne en arrière-plan et qui démarre Kodi au démarrage. Que ce soit LibreELEC, <a href="https://raspberrytips.com/kodi-guide-osmc/" data-type="post" data-id="944">OSMC</a> ou <a href="https://raspberrytips.com/install-raspbian-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="587">Raspberry Pi OS</a> exécutant Kodi, les premiers pas sont les mêmes.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"style":{"color":{"background":"#fadce4"}}} --> <p class="has-background" style="background-color:#fadce4"><strong>Note</strong> : Vous voulez voir les différences entre Kodi sur Raspberry Pi OS vs. LibreElec vs. OSMC ? J’ai une vidéo sur ce sujet juste pour les membres de la communauté. <a href="https://raspberrytips.com/school/community/?coupon=IP25CTY&utm_source=raspberrytips&utm_medium=website&utm_campaign=inpost">Rejoignez ici pour regarder</a>, et obtenez l’accès à plus de 30 autres leçons sur Raspberry Pi ainsi que de nombreux autres avantages !</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Paramètres de base</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Je suggère de commencer par jeter un coup d’oeil aux paramètres du système. Vous pouvez y accéder en cliquant sur l’icône en forme d’engrenage des paramètres en haut du menu de gauche. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Tous les paramètres sont répertoriés ici, et classés par catégorie, vous devriez donc rapidement trouver ce que vous cherchez :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":19929,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/09/libreelec-settings-1024x538.jpg" alt="" class="wp-image-19929"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Par exemple, si vous cliquez sur “Système”, vous aurez accès à tous les paramètres de base, comme “Affichage”, “Audio”, “Entrée”, etc.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans les paramètres de l’interface, vous trouverez la configuration régionale (langue et fuseau horaire) et vous pourrez personnaliser l’interface si nécessaire.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ce sont les deux catégories les plus importantes à ce stade, mais n’hésitez pas à explorer les autres menus pour voir ce qui est disponible.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Installer des modules complémentaires</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Par défaut, LibreELEC est une distribution très légère, mais une fois que vous avez accès à Kodi, vous pouvez facilement installer des modules complémentaires pour répondre à vos besoins. <strong>Pensez aux modules complémentaires comme les applications que vous installez sur votre téléphone: vous pouvez installer des services comme Spotify, YouTube, ou Netflix de cette façon.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Pour l’essayer, allez dans la section Extensions dans Paramètres, ou allez directement à “Extensions” dans le menu principal.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Il y a deux méthodes pour installer des extensions :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Installer depuis un dépôt</strong>: comme sur la plupart des distributions Linux, vous pouvez télécharger des packages depuis un serveur distant, et installer les extensions directement. Il existe un dépôt officiel configuré par défaut, mais d’autres peuvent être ajoutés si nécessaire.<br></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Installer à partir d’un fichier zip</strong>: vous trouverez parfois des extensions intéressantes en ligne, qui peuvent être téléchargées sur votre Raspberry Pi et installées manuellement. D’ailleurs, cette méthode est souvent utilisée pour ajouter l’accès à de nouveaux dépôts.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous allez dans Extensions et ensuite “Installer depuis un dépôt”, vous verrez une liste de catégories.<br>Choisissez-en une, et parcourez la liste des extensions proposées. Lorsque vous en sélectionnez une, vous aurez alors accès à plus de détails, et une option pour l’installer :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":19930,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/09/libreelec-twitch-1024x520.jpg" alt="" class="wp-image-19930"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Par exemple, Twitch est disponible sous <em>Tous les dépôts > Extensions vidéo</em> et peut être installé en un clic à partir de là. Une fois installé, il sera directement disponible à partir du menu principal, sous “Extensions”, vous permettant de regarder des streams sur LibreELEC.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Note</strong>: Pour certaines extensions, ce n’est pas forcément aussi facile, car des tokens API sont souvent requis (ex: YouTube, Twitch, Spotify, etc.). Mais au moins, l’installation de l’extension n’est pas plus compliquée que sur les distributions traditionnelles.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous avez besoin de plus de détails ou d’inspiration, j’ai d’autres articles sur le sujet :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/youtube-api-keys-kodi/" data-type="post" data-id="6203">Comment utiliser les clés API YouTube avec l’extension Kodi ?</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/install-netflix-on-kodi/" data-type="post" data-id="1438">Comment regarder Netflix et d’autres services de streaming sur Kodi?</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/play-spotify-on-raspberry-pi/">Comment utiliser Spotify sur votre Raspberry Pi ?</a></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Questions connexes</h2> <!-- /wp:heading --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Quelle est la différence entre LibreELEC et OSMC ?</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>En général, LibreELEC et OSMC ont le même objectif : faire fonctionner Kodi sur un Raspberry Pi. LibreELEC est un système minimal, juste pour Kodi, tandis qu’OSMC est basé sur Debian, offrant plus d’options pour héberger d’autres services.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous cherchez un centre multimédia simple, optez pour LibreELEC. Si vous pensez que vous pourriez utiliser le Pi pour d’autres projets plus tard, OSMC pourrait être un meilleur choix, car vous pouvez installer n’importe quoi d’autre dessus (accès aux dépôts Debian).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>J’explique les différences plus en détail dans cet article : <a href="https://raspberrytips.com/osmc-vs-libreelec/" data-type="post" data-id="10297">OSMC vs LibreElec: Quel est le meilleur système de centre multimédia ?</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Quels sont le nom d’utilisateur et le mot de passe par défaut pour LibreElec ?</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si SSH est activé, vous pouvez vous connecter à votre système LibreELEC en utilisant : </strong><br>nom d’utilisateur = <strong>root</strong><br>mot de passe = <strong>libreelec</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>SSH peut être activé dans l’assistant de bienvenue ou dans les paramètres du système. Ce n’est généralement pas très utile, car LibreELEC est un système minimal, vous ne pouvez pas faire grand-chose même avec l’accès au terminal. Ça pourrait juste aider avec quelques tâches de maintenance, mais vous n’en aurez probablement pas besoin.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:block {"ref":7885} /-->
2025-09-24 10:48:01	I’ve tested numerous lightweight Linux distros on Raspberry Pi over the years, and some really s…	Completed	2025-09-24 11:18:09	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>J’ai testé de nombreuses distributions Linux légères sur Raspberry Pi au fil des ans, et certaines se démarquent vraiment en termes de rapidité et de simplicité. Si vous en avez marre des systèmes lents, voici ceux qui ont le mieux fonctionné pour moi (et quelques-uns que j’éviterais).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Les meilleures distributions Linux légères que je recommande pour Raspberry Pi sont Raspberry Pi OS Lite et DietPi, toutes deux extrêmement rapides et stables. Ubuntu Server, Alpine, Arch ARM, et piCore sont également de bons choix selon vos objectifs.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans cet article, je vous guiderai à travers les meilleures distributions Linux légères à essayer sur un Raspberry Pi. Nous verrons ce qu’est chaque distribution, pourquoi elle est appropriée, ainsi que les avantages et les inconvénients pour vous aider à choisir la meilleure option pour votre projet.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Raspberry Pi OS Lite</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Faites le tri : le moyen le plus rapide de faire fonctionner officiellement un Raspberry Pi</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le système d’exploitation officiel de Raspberry Pi est disponible en trois versions différentes : Full, Desktop (par défaut) et Lite. Parmi celles-ci, <strong>Raspberry Pi OS Lite est conçu comme une alternative légère au système d’exploitation par défaut</strong>. C’est une version simplifiée de Raspberry Pi OS qui inclut seulement les composants essentiels.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Raspberry Pi OS Lite est un système d’exploitation basé sur une ligne de commande et ne vient pas avec un environnement de bureau pré-installé. Alors qu’il est possible de <a href="https://raspberrytips.com/upgrade-raspbian-lite-to-desktop/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/upgrade-raspbian-lite-to-desktop/">installer un environnement de bureau sur Raspberry Pi OS Lite</a>, le système est principalement conçu pour des utilisations qui ne nécessitent pas d’interface graphique.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":43803,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/rpios_lite_neofetch.jpg" alt="" class="wp-image-43803"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez facilement installer Raspberry Pi OS Lite grâce à l’Imager officiel de Raspberry Pi. Vous pouvez trouver la version Lite en vous rendant à <strong>Choisir OS > Raspberry Pi OS (autre) > Raspberry Pi OS Lite</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":43804,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/rpios_lite_installation.jpg" alt="" class="wp-image-43804"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Raspberry Pi OS Lite est un système d’exploitation léger spécialement conçu pour l’écosystème Raspberry Pi. Il est extrêmement facile à installer et est préemballé avec tous les paquets nécessaires comme raspi-config.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Bien que l’OS Lite de Raspberry Pi ne soit pas l’option la plus légère disponible sur cette liste (puisque basée sur Debian), c’est l’option la plus facile pour les débutants, avec l’avantage supplémentaire d’un soutien officiel de Raspberry Pi. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_4e287f-1b","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_152c31-f7","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_152c31-f7"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Avantages et inconvénients</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_c77e28-3f","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_c77e28-3f kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_542517-af"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_542517-af"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Soutien officiel de Raspberry Pi.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_63ac81-be"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_63ac81-be"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Stable et bien optimisé pour le matériel.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_85a0be-55"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_85a0be-55"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Facile pour les débutants, gestion des paquets aisée.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_aa8937-fb","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_aa8937-fb"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Pas l’option la plus légère.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Difficulté : </strong> 🐧 Débutant</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:buttons --> <div class="wp-block-buttons"><!-- wp:button {"className":"is-style-fill","style":{"border":{"radius":"16px"}}} --> <div class="wp-block-button is-style-fill"><a class="wp-block-button__link wp-element-button" href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-os-lite-vs-desktop/" style="border-radius:16px">Raspberry Pi OS Lite vs Bureau</a></div> <!-- /wp:button --></div> <!-- /wp:buttons --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --><!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Serveur Ubuntu</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Toute la puissance d’Ubuntu, sans le superflu</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Supposons que vous ne soyez pas concentré sur la minimisation de votre système d’exploitation et que vous préfériez quelque chose de familier, courant et avec un bon support à long terme. Dans ce cas, le serveur Ubuntu est une autre option à envisager.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le serveur Ubuntu est une version de l’OS Ubuntu bien connu. Tout comme Raspberry Pi OS Lite est la version allégée de Raspberry Pi OS Desktop, <strong>Ubuntu Serveur est la version allégée d’Ubuntu OS</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":38779,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2024/11/ubuntu_server_25_welcme-1024x484.jpg" alt="écran de connexion de bienvenue au serveur Ubuntu 25" class="wp-image-38779"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ubuntu Server est également principalement un OS basé sur la ligne de commande. Au premier démarrage, vous serez accueilli avec une simple invite de connexion basée sur le texte. Vous pouvez utiliser les instructions courantes basées sur Debian pour naviguer dans le système.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":34591,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2024/05/ubuntu-login-server.png" alt="" class="wp-image-34591"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez également choisir de <a href="https://raspberrytips.com/ubuntu-server-raspberry-pi/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/ubuntu-server-raspberry-pi/">installer manuellement un environnement de bureau sur votre serveur Ubuntu. </a> Cependant, à mon avis, le système ne peut alors plus être considéré comme une option légère.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":38783,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2024/11/kubuntu_desktop-1024x576.jpg" alt="bureau kubuntu avec serveur ubuntu 25" class="wp-image-38783"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Installer Ubuntu Server est extrêmement facile ; vous pouvez le faire en utilisant le Raspberry Pi Imager lui-même. Pour ce faire, naviguez vers <strong>Choisir OS > Autre OS à usage général > Ubuntu > Ubuntu Server 25.04</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":43811,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/ubuntu_server_installation-1.jpg" alt="" class="wp-image-43811"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ubuntu fournit également une version de Support à Long Terme (LTS). <strong>La variante LTS est garantie pour recevoir un support et des mises à jour de sécurité pendant cinq ans.</strong> Elle met l’accent sur la stabilité et est idéale pour les serveurs et les environnements de production, où la fiabilité est plus importante que la possession des dernières fonctionnalités.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Ubuntu Server peut ne pas être le système d’exploitation le plus léger de cette liste, mais compense cela par un solide support à long terme et des mises à jour de sécurité régulières. Pour les utilisateurs déjà familiers avec l’écosystème Ubuntu, il peut être très facile pour les débutants.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Donc, si vous recherchez un système d’exploitation léger mais fiable qui privilégie les mises à jour de sécurité régulières, alors Ubuntu Server peut être une excellente option. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_c27f77-4d","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_907828-f4","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_907828-f4"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Avantages et inconvénients</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_52b143-d6","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_52b143-d6 kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_066eb9-64"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_066eb9-64"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Support à long terme et mises à jour de sécurité.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_9c146c-5f"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_9c146c-5f"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Environnement familier pour les utilisateurs d’Ubuntu.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_7dbf4f-f6"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_7dbf4f-f6"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Grand écosystème de logiciels.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_14df12-11","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_14df12-11"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Plus lourd que Pi OS Lite.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Difficulté :</strong> 🐧 Débutant</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:buttons --> <div class="wp-block-buttons"><!-- wp:button {"className":"is-style-fill","style":{"border":{"radius":"16px"}}} --> <div class="wp-block-button is-style-fill"><a class="wp-block-button__link wp-element-button" href="https://raspberrytips.com/ubuntu-server-raspberry-pi/" style="border-radius:16px">Comment installer Ubuntu Server sur Raspberry Pi</a></div> <!-- /wp:button --></div> <!-- /wp:buttons --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --><!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">DietPi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Quand chaque mégaoctet compte, DietPi répond présent</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>DietPi est un autre système d’exploitation léger qui est spécialement conçu pour l’écosystème Raspberry Pi.<strong> Il a une empreinte encore plus petite par rapport à Raspberry Pi OS Lite (moins de 200 MB une fois installé)</strong>, et il est hautement personnalisable.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":43807,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/dietpi_features-1024x620.jpg" alt="" class="wp-image-43807"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Contrairement aux autres systèmes d’exploitation de cette liste, DietPi offre un assistant de personnalisation après l’installation, permettant de sélectionner et d’installer uniquement les programmes dont vous avez besoin.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":11672,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2019/08/dietpi-setup-wizard-1024x501.jpg" alt="" class="wp-image-11672"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez le configurer selon vos besoins, et l’installation mettra en place tous les logiciels nécessaires. Il peut être configuré pour travailler avec ou sans un environnement de bureau.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":2588,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2019/08/dietpi-recommended-software.jpg" alt="" class="wp-image-2588"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>DietPi comprend divers scripts personnalisés pour la gestion du système</strong>, comme dietpi-config, qui sert d’alternative à raspi-config. De plus, <a href="https://raspberrytips.com/install-dietpi-raspberry-pi/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/install-dietpi-raspberry-pi/">plusieurs autres scripts utiles</a> sont également disponibles.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Bien que DietPi puisse ne pas être aussi facile à utiliser pour les débutants que Raspberry Pi OS Lite, c’est un excellent terrain d’entente pour ceux qui recherchent un système d’exploitation plus épuré. Il offre une large gamme d’options de personnalisation pour répondre à divers besoins sans être trop compliqué.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":8127} /--> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_a8fe07-86","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_409fae-83","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_409fae-83"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Avantages & Inconvénients</h4> <!-- /wp:heading --><!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_c3c436-f3","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_c3c436-f3 kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_566254-21"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_566254-21"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Extrêmement léger (emprise minuscule).</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_57b120-d5"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_57b120-d5"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Scripts automatisés pour la gestion du système.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_f0410a-ad"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_f0410a-ad"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Hautement personnalisable.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_51041b-f6","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_51041b-f6"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Communauté plus petite que celle de Raspberry Pi OS.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_af8b80-eb","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_af8b80-eb"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Moins facile pour les débutants, nécessite plus d’étapes de configuration.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Niveau:</strong> 🐧🐧 Intermédiaire</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:buttons --> <div class="wp-block-buttons"><!-- wp:button {"className":"is-style-fill","style":{"border":{"radius":"16px"}}} --> <div class="wp-block-button is-style-fill"><a class="wp-block-button__link wp-element-button" href="https://raspberrytips.com/install-dietpi-raspberry-pi/" style="border-radius:16px">Comment installer DietPi</a></div> <!-- /wp:button --></div> <!-- /wp:buttons --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --><!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Alpine Linux</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Tellement petit que ça semble magique (mais pas pour les débutants)</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Alpine Linux est un autre système d’exploitation conçu pour être ultra économe en ressources. Contrairement aux systèmes d’exploitation précédemment mentionnés, <strong>Alpine Linux n’est pas basé sur Debian ; il est basé sur les bibliothèques musl libc et BusyBox.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":38436,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/04/Alpine_Linux_logo.jpg" alt="logo d'alpine linux" class="wp-image-38436"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ce choix de bibliothèques permet au système d’exploitation Alpine Linux d’avoir une empreinte minimale. Une installation de base n’occupe que 50 Mo d’espace.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Par défaut, Alpine Linux fonctionne également avec une interface en ligne de commande. <strong>Au premier démarrage, vous vous connectez en tant que root puis configurez le système selon vos besoins.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44082,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/alpine_first_boot.jpg" alt="" class="wp-image-44082"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez utiliser le script setup-alpine pour configurer votre système. Ce script vous guide à travers toutes les étapes de configuration essentielles pour préparer votre système à l’utilisation.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44083,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/alpine_setup_script.jpg" alt="" class="wp-image-44083"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Alpine Linux peut être configuré pour fonctionner en mode sans disque. Dans ce mode, le système est chargé en mémoire et fonctionne entièrement à partir de la RAM</strong>. Toutes les modifications apportées, telles que les fichiers et les paramètres de l’utilisateur, seront perdues lors du redémarrage du système. Pour rendre les modifications permanentes, vous pouvez émettre une commande pour “geler” le système dans un état spécifique.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous êtes habitué à l’écosystème Debian et à ses commandes, alors l’utilisation d’Alpine Linux implique une courbe d’apprentissage abrupte. Par exemple, pour exécuter un programme en tant que superutilisateur, vous utilisez le préfixe ‘doas’ à la place de ‘sudo’.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Alpine Linux n’utilise pas non plus le gestionnaire de paquets APT. À la place, Alpine Linux utilise APK comme gestionnaire de paquets par défaut, bien que la syntaxe soit similaire à celle de APT.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":38537,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/04/alpine_linux_update.jpg" alt="mise à jour du gestionnaire de paquets alpine linux" class="wp-image-38537"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Alpine Linux fonctionne très bien avec Docker. <strong>De nombreux conteneurs Docker sont en fait natifs d’Alpine Linux, car il est souvent utilisé comme base pour les images.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Alpine Linux est également disponible via le Raspberry Pi Imager. Vous pouvez le trouver sous <strong>Choisir OS > Autres systèmes d’exploitation généraux > Alpine Linux.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":43813,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/alpine_linux_installation.jpg" alt="" class="wp-image-43813"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Utiliser Alpine Linux peut être difficile en raison de ses choix d’écosystème uniques. Cependant, les avantages comprennent un système extrêmement efficace et épuré qui peut être adapté à divers scénarios d’utilisation.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En général, je ne recommande pas Alpine Linux pour les débutants. Cependant, si vous savez ce que vous faites ou si vous êtes prêt à affronter la courbe d’apprentissage difficile, alors Alpine Linux peut être une excellente option.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_9b8ae9-60","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_fd5952-9b","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_fd5952-9b"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Pour et Contre</h4> <!-- /wp:heading --><!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_57a014-3e","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_57a014-3e kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_5e7bb7-12"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_5e7bb7-12"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Très peu encombrant.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_9741fd-07"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_9741fd-07"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Temps de démarrage rapide, axé sur la sécurité.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_05fdb5-a7"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_05fdb5-a7"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Populaire dans les conteneurs et les systèmes embarqués.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_db5152-4b","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_db5152-4b"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Pas facile pour les débutants (courbe d’apprentissage abrupte).</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_79f339-72","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_79f339-72"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Moins de paquets disponibles que sur Debian/Ubuntu.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Difficulté:</strong> 🐧🐧🐧 Avancé</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:buttons --> <div class="wp-block-buttons"><!-- wp:button {"className":"is-style-fill","style":{"border":{"radius":"16px"}}} --> <div class="wp-block-button is-style-fill"><a class="wp-block-button__link wp-element-button" href="https://raspberrytips.com/alpine-linux-raspberry-pi/" style="border-radius:16px">Utiliser Alpine Linux sur Raspberry Pi</a></div> <!-- /wp:button --></div> <!-- /wp:buttons --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --><!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Arch Linux ARM</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Construisez-le à votre manière : contrôle total de votre Pi</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Arch Linux est une distribution de l’OS Linux en rolling-release. <strong>Un système d’exploitation en rolling-release fournit un flux continu de mises à jour</strong>, ce qui signifie que le système est toujours à jour avec de nouveaux logiciels, fonctionnalités et corrections de bugs, plutôt que d’avoir besoin de mises à jour de version majeure.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>La version principale d’Arch Linux est conçue pour les systèmes x86 et x64, et n’est pas prise en charge sur Raspberry Pi OS. Cependant, la <a href="https://archlinuxarm.org/" data-type="link" data-id="https://archlinuxarm.org/">version Arch Linux ARM</a> est également disponible, qui peut fonctionner sur Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":43814,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/arch_linux_arm.jpg" alt="" class="wp-image-43814"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>La philosophie de conception d’Arch Linux est centrée autour d’une approche DIY. La procédure de configuration pour Arch Linux comprend :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Démarrer Raspberry Pi à partir d’un clé USB avec l’image Raspberry Pi OS Lite (ou toute autre image Linux avec laquelle vous vous sentez à l’aise).</li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Configurez tous les éléments individuels de votre système d’exploitation, tels que les partitions.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Téléchargez le fichier image d’Arch Linux et extrayez les fichiers vers leurs destinations respectives.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Redémarrez sur Arch Linux et configurez les composants individuels du système.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ces étapes ne fournissent qu’une interface de ligne de commande Linux de base sans programmes supplémentaires, à l’exception du gestionnaire de paquets (pacman). <strong>Vous devez installer et configurer chaque composant manuellement.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":25500,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2024/04/archpi_pacman_update-1024x275.jpg" alt="" class="wp-image-25500"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>L’installation d’Arch Linux donne l’impression de concevoir votre propre distribution Linux sans dépendre de scripts préécrits. Ce processus exige une compréhension approfondie de chaque composant d’un système d’exploitation.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":25501,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2024/04/archpi_neofetch.jpg" alt="" class="wp-image-25501"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Heureusement, Arch Linux dispose d’une documentation bien rédigée et d’une communauté active impatiente de vous aider à comprendre comment ces composants fonctionnent et comment les configurer.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le résultat est un système très personnalisé, où vous savez exactement quels programmes sont installés et leurs fonctions. Tout ce qui est installé est manuellement installé par vous (pas de bloats inattendus).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Arch Linux offre également l’AUR (Arch User Repository), un vaste dépôt de packages logiciels développés et maintenus par les utilisateurs d’Arch</strong>. Ce dépôt comprend des milliers d’applications, scripts et outils qui ne sont pas trouvés dans les dépôts officiels.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous appréciez les fonctionnalités d’Arch Linux mais trouvez son processus d’installation et de configuration intimidant, vous pourriez <a href="https://raspberrytips.com/install-manjaro-raspberry-pi/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/install-manjaro-raspberry-pi/">envisager d’utiliser Manjaro Linux</a>. <strong>Manjaro est basé sur Arch Linux et est conçu pour le rendre plus accessible aux débutants.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=l9ky_cAy-dQ","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=l9ky_cAy-dQ </div></figure> <!-- /wp:embed --><!-- wp:paragraph --> <p>Bien que très difficile à configurer, l’expérience globale d’utilisation d’Arch Linux est gratifiante. Il offre un système d’exploitation hautement personnalisable et une excellente occasion de comprendre le fonctionnement interne d’un système d’exploitation Linux.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous recherchez un système d’exploitation qui offre une personnalisation extensive et que vous souhaitez approfondir votre compréhension de Linux, Arch Linux ARM est une excellente option pour vous.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Bien qu’il présente une courbe d’apprentissage difficile, il offre des avantages tels que l’accès aux derniers packages de pointe et à l’Arch User Repository (AUR).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_73cb07-9c","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_a2063a-15","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_a2063a-15"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Pour et Contre</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_3e9f97-c8","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_3e9f97-c8 kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_07c650-28"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_07c650-28"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Mise à jour continue légère.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_1dd8d0-01"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_1dd8d0-01"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Contrôle complet et flexibilité.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_3eb2a2-27"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_3eb2a2-27"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Accès à l’Arch User Repository (AUR).</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_b43409-c7","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_b43409-c7"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Difficile à configurer, pas pour les débutants.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_f54e29-b4","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_f54e29-b4"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">La version rolling release nécessite une maintenance régulière.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --><!-- wp:paragraph --> <p><strong>Difficulté :</strong> 🐧🐧🐧🐧 Expert</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:buttons --> <div class="wp-block-buttons"><!-- wp:button {"className":"is-style-fill","style":{"border":{"radius":"16px"}}} --> <div class="wp-block-button is-style-fill"><a class="wp-block-button__link wp-element-button" href="https://raspberrytips.com/install-arch-linux-raspberry-pi/" style="border-radius:16px">Installer Arch Linux sur Raspberry Pi</a></div> <!-- /wp:button --></div> <!-- /wp:buttons --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Void Linux ARM</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Léger, épuré, et sans Systemd</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Void Linux est une autre option légère moins connue pour le Raspberry Pi. Contrairement à la plupart des distributions de cette liste, <strong>elle n’utilise pas systemd ; elle utilise plutôt runit comme système d’init.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>runit est un système d’init léger conçu pour la rapidité et la simplicité dans la gestion des services</strong>. Contrairement à systemd, il ne vise pas à gérer les environnements dynamiques, en faisant une solution simple et minimale.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Installer Void Linux est simple si vous téléchargez l’<a href="https://voidlinux.org/download/#arm" data-type="link" data-id="https://voidlinux.org/download/#arm"> image ARM préconstruite </a>sur le site web de Void Linux. Il suffit de la flasher sur une carte SD à l’aide de Raspberry Pi Imager, balenaEtcher, ou la commande `dd`, et vous êtes prêt à démarrer votre système. </p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>À la première utilisation, Void Linux vous met dans un environnement en ligne de commande avec seulement les outils essentiels installés. Vous devrez probablement ajouter des outils de réseau et configurer SSH manuellement si vous prévoyez de l’utiliser sans écran.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44050,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/VoidLinuxPrompt.jpg" alt="" class="wp-image-44050"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Void Linux est une distribution en version continue, similaire à Arch Linux ARM</strong>. Cela signifie que vous obtenez toujours le logiciel le plus récent sans attendre de mises à jour majeures.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une autre différence clé est la manière dont Void gère ses bibliothèques système. <strong>Il est construit avec le support musl libc, en alternative à la glibc traditionnelle</strong>. Cela le rend encore plus léger.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44051,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/VoidNeoFetch.jpg" alt="" class="wp-image-44051"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>En raison de ses choix de conception, Void Linux semble souvent plus rapide et plus réactif que les systèmes basés sur Debian comme Pi OS Lite ou DietPi. Il n’y a pas de surcharge inutile, et le système vous donne exactement ce que vous y mettez – ni plus, ni moins.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Ceci dit, Void est dépourvu du même niveau de support pour les débutants et de tutoriels communautaires que Ubuntu ou Raspberry Pi OS. C’est mieux adapté aux utilisateurs qui ont déjà une certaine connaissance de Linux et qui veulent un système propre sur lequel construire. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Par exemple, en raison d’un manque de bonne documentation, il m’a fallu quelques heures pour me familiariser avec le système, activer la connectivité réseau et installer les paquets nécessaires lors des tests pour ce tutoriel.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Void Linux est un excellent choix si vous voulez quelque chose de différent des choix grand public. Il est léger comme Alpine, mais avec une sélection de paquets plus large. Il s’agit d’une version en cours de développement comme Arch, mais plus facile à installer. Et contrairement à DietPi ou PiOS Lite, il vous propose un système qui se sent unique, rapide et entièrement sous votre contrôle.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_d72b9c-4e","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_07ead4-e0","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_07ead4-e0"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Avantages & Inconvénients</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_882cf9-31","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_882cf9-31 kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_4c2950-02"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_4c2950-02"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Léger et sans systemd.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_0c2f15-25"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_0c2f15-25"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Version en continu avec un design simplifié.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_b634f2-f8"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_b634f2-f8"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Bon pour les utilisateurs avancés qui n’aiment pas les distros grand public.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_4607ae-e8","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_4607ae-e8"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Communauté plus petite et moins de tutoriels.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Difficulté:</strong> 🐧🐧🐧🐧 Expert</p> <!-- /wp:paragraph --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Tiny Core Linux (piCore)</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph {"align":"left","className":"subheading"} --> <p class="has-text-align-left subheading"><em><strong>Un système d’exploitation qui tient dans votre poche</strong></em>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une des distributions les plus légères que j’ai récemment découvertes est piCore. Il est basé sur le projet Tiny Core Linux. <strong>piCore ne contient que le noyau de Linux couplé seulement aux paquets les plus nécessaires.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez en savoir plus sur le projet Tiny Core Linux sur leur <a href="http://www.tinycorelinux.net/welcome.html" data-type="link" data-id="http://www.tinycorelinux.net/welcome.html">site web</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":44079,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/tiny_core_inxi-1.jpg" alt="" class="wp-image-44079"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Tiny Core Linux est conçu pour fonctionner entièrement à partir de la RAM</strong>. Par conséquent, il n’y a pas d’installation conventionnelle. Pour lancer piCore, vous pouvez télécharger une archive compressée qui peut être installée sur une carte SD en utilisant les méthodes traditionnelles.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cependant, cette carte SD n’est utilisée que pour le démarrage. Vous pouvez jeter un œil à la structure des dossiers de votre carte SD, et vous remarquerez qu’aucune structure de fichiers Linux conventionnelle n’est visible là-bas. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44081,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/tiny_core_files.jpg" alt="" class="wp-image-44081"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pendant le démarrage, le système utilise les fichiers de la carte mémoire pour créer un système de fichiers en RAM, et le système entier fonctionne à partir de la RAM uniquement. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Par défaut, rien de ce que vous faites sur votre piCore n’est persistant.</strong> Chaque fois que vous redémarrez, vous recommencerez à zéro, c’est-à-dire que tout logiciel que vous avez installé ne sera plus installé. <strong>Pour rendre les choses persistantes, vous devez créer des scripts et les exécuter à chaque démarrage.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Lors du premier démarrage, vous êtes placé dans une interface en ligne de commande.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44073,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/TinyCoreLoginPrompt.jpg" alt="" class="wp-image-44073"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous devez installer chaque composant de votre système d’exploitation individuellement. Cela peut être fait en utilisant la commande tce-load:<br><code>tce-load -wi <nom du paquet></code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44074,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/TCELoad.jpg" alt="" class="wp-image-44074"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une fois que vous avez installé le programme, vous devez l’ajouter au fichier /etc/sysconfig/tcedir/onboot.lst afin que piCore sache quels programmes charger au démarrage.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44075,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/tiny_core_onboot_list.jpg" alt="" class="wp-image-44075"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Enfin, pour rendre ces modifications persistantes, vous devez exécuter cette commande:<br><code>filetool.sh -b</code></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":44078,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/09/tiny_core_persistent-1.jpg" alt="" class="wp-image-44078"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cette commande met à jour le fichier mydata.tgz sur votre partition de démarrage pour refléter les modifications que vous avez apportées à n’importe quel fichier.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>piCore offre une expérience Linux minimaliste sans fonctionnalités par défaut, nécessitant une configuration manuelle de tous les aspects. Les utilisateurs doivent également veiller à ce que ces changements soient conservés pour un chargement automatique au démarrage, ce qui peut être un défi pour les débutants.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cependant, pour quelqu’un à la recherche d’une expérience très minimaliste, piCore peut être une excellente option. De plus, pour le cas d’utilisation de niche où vous voulez que votre Raspberry Pi effectue une seule tâche spécifique, ça peut être un excellent choix.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":39388} /--> <!-- wp:kadence/rowlayout {"uniqueID":"43248_3b140a-58","columns":1,"colLayout":"equal","bgColor":"palette8","firstColumnWidth":0,"secondColumnWidth":0,"thirdColumnWidth":0,"fourthColumnWidth":0,"fifthColumnWidth":0,"sixthColumnWidth":0,"bgColorClass":"theme-palette8","borderStyle":[{"top":["palette5","",0],"right":["palette5","",0],"bottom":["palette5","",0],"left":["palette5","",4],"unit":"px"}],"kbVersion":2} --> <!-- wp:kadence/column {"borderWidth":["","","",""],"uniqueID":"43248_152361-b8","kbVersion":2} --> <div class="wp-block-kadence-column kadence-column43248_152361-b8"><div class="kt-inside-inner-col"><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Avantages & Inconvénients</h4> <!-- /wp:heading --><!-- wp:kadence/iconlist {"uniqueID":"43248_2f79a7-c4","color":"#08aa24"} --> <div class="wp-block-kadence-iconlist kt-svg-icon-list-items kt-svg-icon-list-items43248_2f79a7-c4 kt-svg-icon-list-columns-1 alignnone"><ul class="kt-svg-icon-list"><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_5039e9-40"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_5039e9-40"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Incroyablement petit (moins de 100 Mo).</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_3c3038-c2"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_3c3038-c2"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Fonctionne entièrement en RAM → très rapide.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_3869fe-67"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_3869fe-67"><span data-name="USE_PARENT_DEFAULT_ICON" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Idéal pour des projets expérimentaux ou minimalistes.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --><!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_6de533-30","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_6de533-30"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Cas d’utilisation très spécifique.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --> <!-- wp:kadence/listitem {"uniqueID":"43248_26c2bc-58","icon":"fe_x","color":"palette1"} --> <li class="wp-block-kadence-listitem kt-svg-icon-list-item-wrap kt-svg-icon-list-item-43248_26c2bc-58"><span data-name="fe_x" data-stroke="USE_PARENT_DEFAULT_WIDTH" data-class="kt-svg-icon-list-single" class="kadence-dynamic-icon"></span><span class="kt-svg-icon-list-text">Pas pratique pour une utilisation quotidienne/générale.</span></li> <!-- /wp:kadence/listitem --></ul></div> <!-- /wp:kadence/iconlist --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Difficulté :</strong> 🐧🐧🐧🐧 Expert</p> <!-- /wp:paragraph --></div></div> <!-- /wp:kadence/column --> <!-- /wp:kadence/rowlayout --> <!-- wp:paragraph --> <p>Choisir la bonne distribution Linux légère pour votre Raspberry Pi dépend vraiment de votre équilibre entre simplicité, flexibilité et performance. Pour la plupart des utilisateurs, Raspberry Pi OS Lite et DietPi offrent le meilleur mélange de stabilité et de facilité d’utilisation.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Les utilisateurs avancés peuvent préférer la personnalisation d’Arch, Void, ou piCore. Peu importe votre choix, chacune de ces distributions peut vous aider à libérer plus de performance de votre Pi en le gardant épuré, rapide et dédié à une fonction précise.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:block {"ref":7885} /-->
2025-09-24 10:39:48	I’ve tested numerous lightweight Linux distros on Raspberry Pi over the years, and some really s…	Todo
2025-09-24 10:31:41	test…	Completed	2025-09-24 10:35:03	Copy HTML code test
2025-09-21 10:01:25	I’ve always been fascinated by the idea of having my own smart mirror, so I finally gave the Mag…	Completed	2025-09-21 10:13:20	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>Siempre me ha fascinado la idea de tener mi propio espejo inteligente, así que finalmente probé el proyecto Magic Mirror con un Raspberry Pi. Pero la mayoría de las guías solo complican las cosas más de lo necesario. Así que armé una versión sencilla y amigable para principiantes que realmente funciona. ¡Permíteme guiarte a través de ella!</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>MagicMirror se puede instalar en Raspberry Pi utilizando una configuración manual con Node.js o un script automático. El método más fácil es usar el instalador oficial, que descarga todas las dependencias y configura el sistema automáticamente.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En esta guía, obtendrás una rápida introducción a qué es MagicMirror, luego te mostraré la mejor manera de instalarlo en Raspberry Pi. Vamos a pasar por consejos de configuración, gestión de módulos, y pequeños ajustes para mejorar la experiencia general. Siéntete libre de saltar a las partes que necesitas.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":19563} /--> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Introducción al proyecto Magic Mirror</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Como <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/retropie-beginners-guide/" data-type="post" data-id="1189" target="_blank" data-lasso-id="2788">jugar a juegos clásicos en Retropie</a> o <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/install-netflix-on-kodi/" data-type="post" data-id="1438" target="_blank" data-lasso-id="2789">ver Netflix con Kodi</a>, construir un Magic Mirror es un proyecto que ayudó a popularizar el Raspberry Pi. Es una realización tan hermosa una vez completada, y sigue siendo algo futurista para poner en tu casa, que despertó el interés de muchos creadores.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Michael Teeuw es el inventor original del proyecto Magic Mirror, y puedes encontrar muchos recursos sobre el mismo en <a rel="noopener" href="https://michaelteeuw.nl/tag/magicmirror" target="_blank" data-lasso-id="2790">su sitio web</a>. Como aprenderemos más tarde, construir un Magic Mirror no es tan complicado como podrías pensar, pero la idea era realmente innovadora en su momento. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>De todas formas, en resumen, <strong>un espejo “mágico” es como cualquier otro espejo, pero le agregarás datos interesantes, como un reloj, tu calendario o la previsión meteorológica para los próximos días</strong>. Es “mágico” porque es una mezcla entre un panel de TV y un espejo, conectado a numerosas APIs para mostrar todo lo que te interesa, nada que ver con el de Harry Potter :-)</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si estás leyendo esto, estoy seguro de que ya sabes cómo se ve un Magic Mirror, así que vamos a saltar directamente a la parte interesante del contenido.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Instalación del software Magic Mirror en Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cubriremos cómo construir el marco para tu espejo mágico primero, y luego pasaremos a la instalación del software.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Cómo construir un marco para el Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si planeas construir un Magic Mirror y colgarlo en una de tus paredes en casa, la forma clásica de hacerlo es construir un marco personalizado, luego colocar un televisor y un Raspberry Pi detrás de un vidrio bidireccional (<a data-lasso-id="2791" href="https://www.amazon.com/dp/B09SBX9JS2/" target="_blank" rel="noopener">como este en Amazon</a>).</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Para ser claros, esta guía no trata de esto. Pero puedo ayudarte con un excelente video que muestra todos los pasos para armar un Espejo Mágico con un marco de madera:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=cVmDjJmcd2M","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=cVmDjJmcd2M </div></figure> <!-- /wp:embed --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si, como yo, no eres un gran manitas, aún puedes utilizar el software Magic Mirror como un “Tablero Mágico”, sin el marco y el asunto del espejo. Por ejemplo, podría ser un gran uso de <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/raspad-3-review/" data-type="post" data-id="8933" target="_blank" data-lasso-id="2792">la RasPad 3 que probé aquí</a>. Obtendrás el mismo resultado de una manera mucho más fácil.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>El objetivo principal de este artículo es darte consejos para ahorrar tiempo con la instalación del software, lo que aprenderemos en detalle ahora.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Configura Magic Mirror en Raspberry Pi</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Existen bastantes formas diferentes de obtener el software para un espejo mágico en tu Raspberry Pi. Permíteme cubrir brevemente esas antes de dar un ejemplo que recomiendo.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Maneras de instalar el software Magic Mirror en Raspberry Pi</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>En la guía oficial de instalación para el Magic Mirror, encontrarás varios métodos para configurarlo en tu Raspberry Pi:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Magic Mirror OS</strong>: Puede parecer la manera más fácil de hacerlo (flashearlo, y ya está), pero no es el método que recomiendo.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Imagen Docker</strong>: <a href="https://raspberrytips.com/docker-on-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11852">Docker</a> a menudo es una gran solución para instalar nuevos servicios, ya que mantiene todo en un contenedor seguro, protegiendo la aplicación y tu sistema. De nuevo, no es mi método favorito para el Magic Mirror.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Scripts de instalación aleatorios</strong>: Típicamente métodos que son “fáciles” en la superficie, pero no tienes control sobre lo que se instalará.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Todos estos métodos parecen fáciles al principio, pero descubrí que una vez que los instalé, el mantenimiento se volvió más complicado. Si solo quieres ver rápidamente cómo funciona en un modelo específico de Raspberry Pi o pantalla, adelante, toma la imagen Magic Mirror OS y flasheala en tu tarjeta SD. Funcionará directamente.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Pero si quieres el mejor método a largo plazo, sigue leyendo esta guía.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Instalación del Magic Mirror</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>En general, el mejor método para instalar Magic Mirror en un Raspberry Pi es la instalación manual. Después de instalar NodeJS, puedes clonar el <a rel="noopener" href="https://github.com/MichMich/MagicMirror" target="_blank" data-lasso-id="2793">repositorio de GitHub</a> e instalar la aplicación con npm.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Aquí están los pasos necesarios para instalar Magic Mirror en tu Raspberry Pi:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Instalar Raspberry Pi OS con un entorno de escritorio.<br></strong>Probablemente funcione en otras distribuciones también, pero solo lo he probado en Raspberry Pi OS.<br>Puedes encontrar mi <a href="https://raspberrytips.com/install-raspbian-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="587">guía de instalación aquí</a> si lo necesitas.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Descargar e instalar NodeJS:<br></strong><code>curl -sL https://deb.nodesource.com/setup_24.x | sudo -E bash -<br>sudo apt install nodejs</code><br><img decoding="async" class="wp-image-44204" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/nodejs_v24.jpg" alt=""><br>Asegúrate de verificar los requisitos para la última versión de Magic Mirror, ya que la versión de NodeJS requerida cambiará con el tiempo. Tengo una <a href="https://raspberrytips.com/node-js-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="16862">guía sobre Node.js en Raspberry Pi</a> si quieres saber más sobre este impresionante lenguaje.</li> <!-- /wp:list-item --> </ul> <!-- /wp:list --><!-- wp:list-item --> <li>Una vez hecho esto, <strong>clona el repositorio de GitHub</strong> para descargar el código fuente de Magic Mirror:<br><code>git clone https://github.com/MagicMirrorOrg/MagicMirror<br>cd MagicMirror</code><br><img decoding="async" class="wp-image-44205" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/git_clone_magicmirror_repo.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Finalmente, <strong>instala la aplicación con:</strong><br><code>npm install</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Copia el archivo de configuración de muestra:<br></strong><code>cp config/config.js.sample config/config.js</code><br>Explicaré todo sobre este archivo en la siguiente sección.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Y comienza la aplicación:<br></strong><code>npm run start</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Eso es todo, deberías obtener el visualizador por defecto de Magic Mirror en tu pantalla (fecha, clima, noticias y un cumplido al azar). </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44206,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror_heysexy-1024x535.jpg" alt="" class="wp-image-44206"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Ahora estás listo para pasar a la siguiente parte, donde explicaré cómo configurar y personalizar esta pantalla (y arreglar el widget del clima).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:block {"ref":8127} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Guía de Configuración del Espejo Mágico</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ahora que has instalado el software para tu espejo mágico, ¿cómo puedes personalizarlo? En esta sección, cubriremos cosas comunes que podrías querer cambiar.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Cómo salir de la pantalla del Espejo Mágico</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Antes de continuar, hay una cosa que necesitas saber: cómo cerrar la aplicación de Espejo Mágico.<br>Por defecto, se abre en pantalla completa y no muestra una forma obvia de salir.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Para salir de la pantalla del Espejo Mágico, presiona “ALT” en tu teclado, el menú superior aparecerá. Luego ve a Archivo > Salir para cerrar la aplicación (o utiliza CTRL+Q).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9780,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-exit.jpg" alt="" class="wp-image-9780"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si quieres configurar el Espejo Mágico directamente desde la misma Raspberry Pi, necesitas cerrar todo antes de continuar.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Nota</strong>: Si ALT o CTRL+Q no funcionan en Bookworm, puedes presionar la tecla “Win” (o la tecla de Raspberry Pi en Pi 400) y cerrarlo desde allí.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Cómo funciona la configuración del Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>La configuración de Magic Mirror es la que copiaste después de la instalación. La ubicación del archivo probablemente sea algo como: “/home/$USER/MagicMirror/config/config.js”. Ábrelo con tu editor preferido (<a data-lasso-id="2794" href="https://raspberrytips.com/nano-commands-shortcuts/" data-type="post" data-id="2524">por ejemplo, nano</a>), y echa un vistazo a los contenidos del archivo</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">La estructura del archivo de configuración:</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:image {"id":9781,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-configuration-top-1024x291.jpg" alt="" class="wp-image-9781"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>La parte superior del archivo de configuración incluye las variables generales para tu instalación: dirección IP, puerto, idioma y localidad, formato de hora, etc. Estos ajustes serán utilizados por todos los widgets en tu pantalla, así que tómate el tiempo para cambiarlos si es necesario. Por ejemplo, puedes establecer “timeformat” en 12 si lo prefieres y cambiar el idioma a “fr” o cualquier idioma que prefieras.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Entonces, hay un gran bloque con todos los widgets listados. Los widgets se llaman “módulos” en la configuración de Magic Mirror:</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":9782,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-configuration-modules-1024x359.jpg" alt="" class="wp-image-9782"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>La mayoría de los módulos tienen un nombre y una configuración de posición. Por ejemplo, en esta captura de pantalla, podemos ver que por defecto hay un módulo de “reloj” configurado para mostrarse en la parte superior izquierda de la pantalla.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Algunos módulos solo tienen el parámetro de posición para indicar dónde mostrarlo en la pantalla, pero otros módulos pueden tener muchas más opciones. Por ejemplo, el módulo de calendario puede establecer una URL para buscar las próximas vacaciones.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Un ejemplo simple: Cambia el feed de noticias.</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vamos a tomar un ejemplo para ver cómo modificar un módulo. En la parte inferior de la pantalla, tienes un feed de noticias. Toma los últimos artículos del New York Times, y muestra el título y la fecha de publicación. Quizás estés más interesado en las noticias de Raspberry Pi, y puedes editar las opciones de los módulos para mostrar los últimos tutoriales en tu página web favorita:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Abre el archivo de configuración con cualquier editor, por ejemplo:<br><code>nano /home/$USER/MagicMirror/config/config.js</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Encuentra el módulo de noticias:<br><img decoding="async" class="wp-image-9784" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/newsfeed.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cambia el título y URL del feed, con algo como:<br><img decoding="async" class="wp-image-9785" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/newsfeed-rpi.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Reinicia tu servicio Magic Mirror:<br><code>cd /home/$USER/MagicMirror<br>npm run start</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Eso es todo, ahora verás noticias mucho más interesantes en tu pantalla.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9786,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/raspberrytips-feed.jpg" alt="" class="wp-image-9786"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Espero que tengas una mejor comprensión de cómo puedes editar fácilmente el archivo de configuración predeterminado para adaptarlo a tus necesidades. Eres libre de cambiar la configuración, eliminar módulos inútiles o cambiar la posición de los módulos como quieras.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Crear copias del archivo de configuración como respaldo regularmente es probablemente una buena idea, en caso de que rompas algo mientras realizas estos cambios.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Acceso Remoto al Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Como con la mayoría de los proyectos, encuentro más fácil hacer los cambios en este archivo de configuración desde mi computadora (via SSH). De hecho, existe una forma de ver los resultados en tu navegador en lugar de la pantalla de Raspberry Pi. De esta manera, si tienes una pantalla doble, puedes editar la configuración en una y ver el resultado en la otra.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si estás interesado en hacer lo mismo, aquí te enseñamos cómo hacerlo:</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Abre el archivo de configuración:<br><code>nano /home/$USER/MagicMirror/config/config.js</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Edita la línea “address”. Puedes poner la dirección IP actual de la Raspberry Pi, o “0.0.0.0” si quieres que funcione incluso si la Raspberry Pi cambia a otra IP en tu red. En mi caso, prefiero la segunda opción, ya que no uso una dirección IP estática:<br><code>address: "0.0.0.0"</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>El puerto predeterminado es 8080. Solo necesitas cambiarlo si ya tienes un servicio utilizando este puerto. Si tu configuración de Raspberry Pi está dedicada a este proyecto, puedes mantenerlo así.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Entonces también necesitas cambiar la línea “ipWhitelist” para permitir el acceso remoto desde tu computadora. Al igual que antes, si tu computadora tiene una IP estática, simplemente añádela a la lista. Si no, permite todas las direcciones IP.<br>Con una IP estática: <code>ipWhitelist: ["192.168.1.10", "127.0.0.1", "::ffff:127.0.0.1", "::1"]</code><br>Permitir todas: <code>ipWhitelist: []</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --><!-- wp:image {"id":9799,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-allow-remote-1024x228.jpg" alt="" class="wp-image-9799"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Eso debería ser suficiente por ahora. Puedes habilitar HTTPS si quieres, pero necesitarás un certificado, esto no es necesario si solo es para ver tus cambios en tiempo real.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Reinicia la aplicación Magic Mirror y verifica que puedes acceder a ella desde tu computadora, abriendo la URL http://<IP>:8080 en tu navegador. Si no sabes cómo <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/find-current-ip-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="96" target="_blank" data-lasso-id="2795">encontrar la dirección IP de tu Raspberry Pi</a>, haz clic en este enlace para leer mi tutorial sobre el tema.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Utilizar esto es más conveniente y también puede ayudar a depurar la mayoría de los problemas, como errores de JavaScript, utilizando las herramientas de desarrollador en tu navegador.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Arregla el widget del tiempo en tu Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Por defecto, hay un widget del tiempo habilitado en la parte superior derecha de la pantalla de Magic Mirror, pero puede que no funcione. Muestra “Cargando…” todo el tiempo. Si es así, aquí te explico cómo resolverlo:</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Ve a <a rel="noopener" href="https://openweathermap.org/" target="_blank" data-lasso-id="2796">OpenWeatherMap</a> y crea una cuenta.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Una vez que hayas iniciado sesión, haz clic en “API keys” y genera una nueva clave API para tu proyecto Magic Mirror.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Recibirás una cadena aleatoria de caracteres. Cópiala.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Abre el archivo de configuración y encuentra esta parte:<br><img decoding="async" class="wp-image-9792" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/weather-api-key.jpg" alt=""><br>Coloca tu clave API en ambos lugares. El primero es para el clima actual, el segundo para el pronóstico del tiempo.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Reinicia tu aplicación Magic Mirror para aplicar los cambios.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>El clima de Nueva York debería aparecer en tu pantalla. <strong>Para mostrar el clima de otra ubicación, cambia los dos campos “location” y “locationID” para ambos módulos. Puedes encontrar los valores a establecer descargando y extrayendo <a rel="noopener" href="https://bulk.openweathermap.org/sample/city.list.json.gz" target="_blank" data-lasso-id="2797">este archivo</a>.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Este es un archivo grande con todas las ciudades del mundo, por lo que es mejor hacer esto en un terminal o vía SSH:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Descarga el archivo en la Raspberry Pi:<br><code>wget https://bulk.openweathermap.org/sample/city.list.json.gz</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Extrae el archivo:<br><code>gunzip city.list.json.gz</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Usa grep para encontrar rápidamente el ID correspondiente, algo así debería funcionar:<br><code>grep "Boise" -B1 -A2 city.list.json</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Probablemente obtendrás varios resultados, es por eso que mantengo dos líneas debajo del nombre de la ciudad, para obtener el campo de estado y país.<br>Puedes incluso aumentar eso para obtener la longitud y la latitud.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:image {"id":9793,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/search-city-id.jpg" alt="" class="wp-image-9793"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Elige el ID que corresponde a tu ciudad y cambia el valor en el archivo de configuración. Después de reiniciar el Magic Mirror, debería actualizarse con el pronóstico del tiempo correcto.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9801,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-meteo-fixed.jpg" alt="" class="wp-image-9801"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Cambiar las Posiciones de los Widgets en Tu Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Como habrás visto, cada módulo está configurado para mostrarse en una ubicación específica, pero puede ser complicado entender la lógica detrás de esto. Así que, aquí están las posibles ubicaciones que puedes usar:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>top_bar </strong>y <strong>bottom_bar</strong>: región completa superior e inferior.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>top_left</strong>, <strong>top_center</strong>, y <strong>top_right</strong> : justo debajo de la barra superior, con tres columnas.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>bottom_left</strong>, <strong>bottom_center</strong>, y <strong>bottom_right</strong>: encima de la barra inferior, con 3 columnas.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>upper_third</strong>, <strong>middle_center</strong>, y <strong>lower_third</strong>: estas son las tres regiones en el medio de la pantalla.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si no está lo suficientemente claro, puedes encontrar una gran explicación visual en los foros de Magic Mirror (<a rel="noopener" href="https://forum.magicmirror.builders/topic/286/regions/2" target="_blank" data-lasso-id="2798">aquí</a>).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Iniciar Automáticamente Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --><!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si tienes la intención de usar tu Espejo Mágico como un dispositivo autónomo, probablemente necesites que se inicie automáticamente cuando la Raspberry Pi se encienda. Esto es especialmente útil si encierras tu Espejo Mágico en un marco de madera con vidrio de dos vías.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Para hacer esto, la forma más fácil que encontré es usando pm2. PM2 es un gestor de procesos para las aplicaciones NodeJS. Es un poco como los comandos <em>systemd </em>o <em>service </em>que quizás estés acostumbrado a usar en Linux, pero para procesos NodeJS. Aquí te explico cómo usarlo:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Instalar PM2 con el comando:<br><code>sudo npm install -g pm2</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Configurar PM2 para que se inicie automáticamente en el arranque:<br><code>pm2 startup</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Crear un script para iniciar la aplicación Magic Mirror:<br><code>nano /home/$USER/mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Pegar estas líneas en este archivo:<br><code>cd ./MagicMirror<br>DISPLAY=:0 npm start</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Guardar y salir (CTRL+X)</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Agregar el permiso de ejecución:<br><code>chmod+x mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Iniciar el Magic Mirror con PM2:<br><code>pm2 start mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Una vez iniciado, guarda el estado actual con:<br><code>pm2 save<br></code>Al hacer esto, se iniciará automáticamente al arrancar.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Una vez hecho esto, ahora usarás PM2 para administrar la aplicación Magic Mirror. Tienes acceso a comandos útiles como:</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Reiniciar Magic Mirror (después de cualquier cambio de configuración):<br><code>pm2 restart mm</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cerrar la aplicación:<br><code>pm2 stop mm<br></code>Será “start” para reiniciarlo después de eso:<br><code>pm2 start mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Mostrar los logs recientes de Magic Mirror:<br><code>pm2 logs mm</code><br>Esto es realmente útil para solucionar cualquier error o si la pantalla no aparece más después de un cambio de configuración.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Instalación de nuevos módulos en tu Magic Mirror</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Todo esto ya es bastante bueno, tienes un panel de control ordenado con la fecha/hora, calendario, clima y feed de noticias. Pero esto es solo el comienzo.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Presentando los módulos Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>El Magic Mirror es una aplicación modular, lo que significa que puedes descargar e instalar nuevos widgets de la comunidad. <a href="https://github.com/MagicMirrorOrg/MagicMirror/wiki/3rd-Party-Modules" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La mayoría de ellos están listados aquí</a>, pero también puedes encontrar módulos de desarrolladores aleatorios en GitHub aquí y allí. Incluye cosas como:</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Mostrando chistes.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Valores de criptomonedas y acciones en tiempo real.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Mostrar los horarios semanales para estudiantes.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Conexión a la mayoría de las APIs abiertas como Google apps, empresas de transporte o servicios meteorológicos.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Todo lo que puedas necesitar probablemente ya esté disponible como un módulo para tu tablero. Y si no, puedes crear tus módulos con un poco de JavaScript. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Gestor de módulos de Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Es posible descargar e instalar cada módulo por separado, clonando el proyecto de GitHub para cada uno de ellos, leyendo la documentación y siguiendo los pasos de configuración. Pero me parece un poco complicado, y, ya que existe un gestor de módulos, creo que es una buena idea intentar usarlo primero.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>El gestor de módulos se llama “mmpm” y se puede instalar en tu Raspberry Pi siguiendo estos pasos:</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Instala los pre-requisitos:<br><code>sudo apt install libffi-dev nginx-full -y</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Luego el paquete en sí:<br><code>python3 -m pip install --upgrade --no-cache-dir mmpm</code><br>En Bookworm, necesitas hacer este comando en un entorno virtual (<a href="https://raspberrytips.com/python-virtual-environments/" data-type="post" data-id="21688">como se explica aquí</a>).<br><img decoding="async" class="wp-image-44207" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror_module_manager_venv.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ejecuta el instalador:<br><code>mmpm guided-setup<br></code>Te hará varias preguntas sobre tu instalación actual y cómo planeas usar el administrador de módulos. No hay respuesta incorrecta. Sigue al asistente y responde todo (la mayoría de las preguntas se responden con “sí” o “no”).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Una vez que hayas respondido todo, ejecuta los comandos que te proporciona: <br><img decoding="async" class="wp-image-44208" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/mmpm_cmds.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Finalmente, ejecuta este comando para agregar el comando <em>mmpm</em> a tu shell:<br><code>echo 'export PATH="$PATH:$HOME/.local/bin"' >> ~/.bashrc && source ~/.bashrc</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Una vez hecho esto, puedes usar esta herramienta con los siguientes comandos:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm search <string></strong>: Un motor de búsqueda para encontrar módulos correspondientes (como apt search).<br><code>mmpm search calendar</code></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm list</strong>: Lista todos los paquetes. Hay opciones disponibles para filtrar esta lista, usa –help para verlos.<br><code>mmpm list -a #Listar todo<br>mmpm list --help #Mostrar la ayuda<br>mmpm list -i #Listar los módulos instalados</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm install <name></strong>: Instala un nuevo paquete.<br><code>mmpm install random_quotes</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm -h</strong>: Obtiene más ayuda acerca de esta herramienta.<img decoding="async" class="wp-image-9797" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/mmpm-help.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Cómo Instalar un Nuevo Módulo de Magic Mirror con mmpm</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Para asegurar que todo esté claro, tomemos un ejemplo. Digamos que quieres mostrar una frase inspiradora en la pantalla de tu Magic Mirror. Aquí están los pasos fáciles a seguir para hacerlo:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Busca el nombre de un módulo que haga esto:<br><code>mmpm search quotes</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Hay dos resultados disponibles, tomemos el módulo random_quotes:<br><code>mmpm install random_quotes</code><br><img decoding="async" class="wp-image-44209" style="width: 650px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/mmpm_random_quotes.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Una vez hecho esto, lo único que queda por hacer es editar tus archivos de configuración y agregar estas líneas dentro de la sección <strong>modules [ ]</strong>:<br><code>{<br> module: "random_quotes",<br> position: "bottom_bar"<br>},</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Reinicia el Magic Mirror con:<br><code>pm2 restart mm</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Eso es todo, ahora recibirás una cita aleatoria en la parte inferior de tu pantalla. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9798,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/random_quotes.jpg" alt="" class="wp-image-9798"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>La mayoría de los módulos tendrán opciones adicionales que puedes agregar. Por ejemplo, con este puedes establecer qué tipo de citas quieres ver (éxito, inspiración, motivación, etc.). Necesitas revisar la documentación del módulo para conocer todos los detalles.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Vídeo</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:embed {"url":"https://youtu.be/mg3I5lRKKw0","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://youtu.be/mg3I5lRKKw0 </div></figure> <!-- /wp:embed --><!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Profundizando en el Magic Mirror</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ahora estás listo para instalar el Magic Mirror de la manera correcta en tu Raspberry Pi, incluyendo el administrador de servicios y utilizando mmpm para instalar nuevos módulos. Creo que es un gran proyecto para profundizar en Raspberry Pi, puedes descubrir NodeJS, git y algunos usos de las APIs populares en el camino.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Obviamente, esta guía es solo una introducción, ya que las posibilidades son infinitas con este proyecto. Déjame saber si experimentas algunos problemas o necesitas otros tutoriales sobre cosas específicas relacionadas con esto (como crear un nuevo módulo), podría intentarlo por mi cuenta y eventualmente compartir mis hallazgos en otros artículos.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>De todas formas, aquí tienes algunos artículos relacionados que podrían interesarte mientras construyes tu Magic Mirror:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list {"type":"video"} --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/viral-raspberry-pi-projects/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/viral-raspberry-pi-projects/">6 Proyectos de Raspberry Pi que se hicieron virales (¡Pruébalos tú mismo!)</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a data-lasso-id="2801" href="https://raspberrytips.com/find-current-ip-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="96">¿Cómo encontrar la dirección IP actual de un Raspberry Pi?</a></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/raspad-3-review/" data-type="post" data-id="8933" data-lasso-id="2802">RasPad 3: Reseña honesta después de un mes de uso</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/sunfounder-ts10-review/" data-type="post" data-id="9601" data-lasso-id="2803">Reseña de la pantalla táctil Raspberry Pi 10.1″ (Con fotos)</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-projects-for-home/" data-type="post" data-id="653" data-lasso-id="2804">25 increíbles ideas de proyectos Raspberry Pi para hacer en casa</a></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:block {"ref":7885} /-->
2025-09-21 09:28:41	I’ve always been fascinated by the idea of having my own smart mirror, so I finally gave the Mag…	Todo
2025-09-21 08:34:59	I’ve always been fascinated by the idea of having my own smart mirror, so I finally gave the Mag…	Completed	2025-09-21 08:43:14	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>J’ai toujours été fasciné par l’idée d’avoir mon propre miroir intelligent, alors j’ai finalement essayé le projet Magic Mirror avec un Raspberry Pi. Mais la plupart des guides rendent les choses plus compliquées qu’elles ne le sont en réalité. J’ai donc décidé de créer une version simple et accessible pour les débutants. Laissez-moi vous guider !</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>MagicMirror peut être installé sur Raspberry Pi en utilisant une configuration manuelle avec Node.js ou un script automatique. La méthode la plus simple est d’utiliser l’installateur officiel, qui télécharge toutes les dépendances et configure le système automatiquement.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans ce guide, vous avez une introduction rapide à ce qu’est MagicMirror, puis je vous montrerai la meilleure façon de l’installer sur Raspberry Pi. Nous passerons en revue les astuces de configuration, le management des modules et les petites modifications pour améliorer l’expérience globale. N’hésitez pas à aller directement aux parties qui vous intéressent.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":19563} /--> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Introduction au projet Magic Mirror</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/retropie-beginners-guide/" data-type="post" data-id="1189" target="_blank" data-lasso-id="2788">jouer à des jeux classiques sur Retropie</a> ou <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/install-netflix-on-kodi/" data-type="post" data-id="1438" target="_blank" data-lasso-id="2789">regarder Netflix avec Kodi</a>, la construction d’un Magic Mirror est un projet qui a contribué à populariser le Raspberry Pi. C’est un tel bonheur une fois terminé, et toujours futuriste à placer dans votre maison, qu’il a suscité l’intérêt de nombreux créateurs.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Michael Teeuw est l’inventeur original du projet Magic Mirror, et vous pouvez trouver de nombreuses ressources à ce sujet sur <a rel="noopener" href="https://michaelteeuw.nl/tag/magicmirror" target="_blank" data-lasso-id="2790">son site web</a>. Comme nous le verrons plus tard, construire un Magic Mirror n’est pas aussi compliqué que vous pourriez le penser, mais l’idée était vraiment novatrice à l’époque. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En bref, <strong>un “miroir magique”, c’est comme n’importe quel miroir, mais vous y ajouterez des informations intéressantes, comme une horloge, votre calendrier ou les prévisions météorologiques pour les prochains jours</strong>. Il est “magique” car c’est un mélange entre un tableau de bord de télévision et un miroir, connecté à de nombreuses API pour afficher tout ce qui vous intéresse, rien à voir avec celui de Harry Potter :-)</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous lisez ceci, je suis sûr que vous savez déjà à quoi ressemble un Magic Mirror, alors passons directement à la partie intéressante du contenu.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Installer le logiciel Magic Mirror sur Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Commençons par voir comment construire le cadre de votre miroir magique, puis nous passerons à l’installation du logiciel.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Comment construire un cadre pour Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous prévoyez de construire un Magic Mirror et de l’accrocher sur l’un de vos murs à la maison, la méthode classique consiste à construire un cadre sur mesure, puis à placer une télévision et un Raspberry Pi derrière un verre double face (<a data-lasso-id="2791" href="https://www.amazon.com/dp/B09SBX9JS2/" target="_blank" rel="noopener">comme celui-ci sur Amazon</a>).</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Pour être clair, ce guide ne traite pas de cela. Mais je peux vous aider avec une superbe vidéo qui vous montre toutes les étapes pour construire un Miroir Magique avec un cadre en bois :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=cVmDjJmcd2M","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=cVmDjJmcd2M </div></figure> <!-- /wp:embed --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si, comme moi, vous n’êtes pas un grand bricoleur, vous pouvez toujours utiliser le logiciel du Miroir Magique comme un tableau de bord magique, sans cadre ni miroir. Par exemple, cela pourrait être une excellente utilisation de <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/raspad-3-review/" data-type="post" data-id="8933" target="_blank" data-lasso-id="2792">la RasPad 3 que j’ai testée ici </a>. Vous obtiendrez le même résultat de manière beaucoup plus simple.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le principal objectif de cet article est de vous donner des conseils pour gagner du temps avec l’installation du logiciel, que nous allons maintenant apprendre en détail.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Installer Magic Mirror sur Raspberry Pi</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Il existe plusieurs façons de mettre le logiciel d’un miroir magique sur votre Raspberry Pi. Laissez-moi brièvement évoquer celles-ci avant de donner un exemple que je recommande.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Moyens d’installer le logiciel Magic Mirror sur Raspberry Pi</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans le guide d’installation officiel pour Magic Mirror, vous trouverez plusieurs méthodes pour l’installer sur votre Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Magic Mirror OS</strong> : Cela peut sembler être la façon la plus facile à faire (le flasher, et c’est fait), mais ce n’est pas la méthode que je recommande.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Image Docker</strong> : <a href="https://raspberrytips.com/docker-on-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11852">Docker</a> est souvent une excellente solution pour installer de nouveaux services, car il garde tout dans un conteneur sûr, protégeant l’application et votre système. Encore une fois, ce n’est pas ma méthode préférée pour Magic Mirror.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Scripts d’installation aléatoires</strong> : Ce sont généralement des méthodes qui semblent “faciles” en surface, mais vous n’avez aucun contrôle sur ce qui sera installé.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Toutes ces méthodes semblent faciles au début, mais j’ai trouvé qu’une fois installées, la maintenance devenait plus compliquée. Si vous voulez simplement vérifier rapidement comment il fonctionne sur un modèle ou un écran Raspberry Pi spécifique, allez-y, prenez l’image Magic Mirror OS et flashez-la sur votre carte SD. Ça marchera directement.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Mais si vous voulez la meilleure méthode à long terme, continuez à lire ce guide.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Installation de Magic Mirror</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>En général, la meilleure méthode pour installer Magic Mirror sur un Raspberry Pi est l’installation manuelle. Après avoir installé NodeJS, vous pouvez cloner le <a rel="noopener" href="https://github.com/MichMich/MagicMirror" target="_blank" data-lasso-id="2793">répertoire GitHub</a> et installer l’application avec npm.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Voici les étapes requises pour installer Magic Mirror sur votre Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Installez Raspberry Pi OS avec un environnement de bureau.<br></strong>Ça devrait probablement fonctionner sur d’autres distributions aussi, mais je ne l’ai testé que sur Raspberry Pi OS.<br>Vous pouvez trouver mon <a href="https://raspberrytips.com/install-raspbian-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="587">guide d’installation ici</a> si besoin.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Téléchargez et installez NodeJS:<br></strong><code>curl -sL https://deb.nodesource.com/setup_24.x | sudo -E bash -<br>sudo apt install nodejs</code><br><img decoding="async" class="wp-image-44204" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/nodejs_v24.jpg" alt=""><br>Assurez-vous de vérifier les exigences pour la dernière version de Magic Mirror, car la version de NodeJS requise changera avec le temps. J’ai un <a href="https://raspberrytips.com/node-js-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="16862">guide sur Node.js sur Raspberry Pi</a> si vous voulez en savoir plus sur ce langage cool.</li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Une fois fait, <strong>clonez le dépôt GitHub</strong> pour télécharger le code source du Magic Mirror:<br><code>git clone https://github.com/MagicMirrorOrg/MagicMirror<br>cd MagicMirror</code><br><img decoding="async" class="wp-image-44205" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/git_clone_magicmirror_repo.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Enfin, <strong>installez l’application avec :</strong><br><code>npm install</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Copiez le fichier de configuration d’exemple :<br></strong><code>cp config/config.js.sample config/config.js</code><br>Je vous expliquerai tout sur ce fichier dans la prochaine section.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Et démarrez l’application :<br></strong><code>npm run start</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Voilà, vous devriez avoir l’affichage par défaut du Magic Mirror sur votre écran (date, météo, nouvelles et un compliment aléatoire). </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44206,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror_heysexy-1024x535.jpg" alt="" class="wp-image-44206"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Vous êtes maintenant prêt à passer à la partie suivante, où je vous expliquerai comment configurer et personnaliser cet écran (et réparer le widget météo).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:block {"ref":8127} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Guide de configuration du Magic Mirror</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Maintenant que vous avez installé le logiciel pour votre Magic Mirror, comment le personnaliser ? Dans cette section, nous allons couvrir les choses communes que vous pourriez vouloir changer.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Comment sortir de l’écran Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Avant d’aller plus loin, il y a une chose que vous devez savoir : comment fermer l’application Magic Mirror. <br> Par défaut, elle s’ouvre en plein écran et ne montre pas de moyen évident pour sortir.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Pour sortir de l’écran Magic Mirror, appuyez sur “ALT” de votre clavier, le menu en haut apparaîtra. Puis allez à Fichier > Quitter pour fermer l’application (ou utilisez CTRL+Q).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9780,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-exit.jpg" alt="" class="wp-image-9780"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous voulez configurer le Magic Mirror directement depuis le même Raspberry Pi, vous devez tout fermer avant de continuer.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Remarque</strong> : Si ALT ou CTRL+Q ne fonctionne pas sur Bookworm, vous pouvez appuyer sur la touche “Win” (ou la touche Raspberry Pi sur Pi 400) et le fermer à partir de là.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Comment fonctionne la configuration du Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>La configuration de Magic Mirror est celle que vous avez copiée après l’installation. L’emplacement du fichier est probablement quelque chose comme : “/home/$USER/MagicMirror/config/config.js”. Ouvrez-le avec votre éditeur préféré (<a data-lasso-id="2794" href="https://raspberrytips.com/nano-commands-shortcuts/" data-type="post" data-id="2524">nano par exemple</a>), et regardez le contenu du fichier</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">La structure du fichier de configuration :</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:image {"id":9781,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-configuration-top-1024x291.jpg" alt="" class="wp-image-9781"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le haut du fichier de configuration inclut les variables générales pour votre installation : adresse IP, port, langue et localisation, format de l’heure, etc. Ces paramètres seront utilisés par tous les widgets sur votre écran, donc prenez le temps de les modifier si nécessaire. Par exemple, vous pouvez régler “timeformat” sur 12 si vous préférez et changer la langue en “fr” ou n’importe quelle autre langue que vous préférez.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Ensuite, il y a un gros bloc avec tous les widgets listés. Les widgets sont nommés “modules” dans la configuration du Magic Mirror :</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":9782,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-configuration-modules-1024x359.jpg" alt="" class="wp-image-9782"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>La plupart des modules ont un nom et un réglage de position. Par exemple, sur cette capture d’écran, nous voyons qu’il y a par défaut un module “horloge” configuré pour s’afficher en haut à gauche de l’écran.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Certains modules ont seulement un paramètre de position pour indiquer où les afficher à l’écran, mais d’autres modules peuvent avoir beaucoup plus d’options. Par exemple, le module calendrier peut définir une URL pour chercher les prochains jours fériés.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Un exemple simple : changer le fil d’actualités.</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Prenons un exemple pour voir comment modifier un module. Au bas de l’écran, vous avez un fil d’actualités. Il récupère les derniers articles du New York Times et affiche le titre et la date de publication. Peut-être que vous êtes plus intéressé par les nouvelles de Raspberry Pi, et pouvez modifier les options des modules pour afficher les derniers tutoriels sur votre site préféré :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Ouvrez le fichier de configuration avec n’importe quel éditeur, par exemple:<br><code>nano /home/$USER/MagicMirror/config/config.js</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Trouvez le module de flux de nouvelles:<br><img decoding="async" class="wp-image-9784" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/newsfeed.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Changez le titre et l’URL du flux, avec quelque chose comme:<br><img decoding="async" class="wp-image-9785" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/newsfeed-rpi.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Redémarrez votre service Magic Mirror:<br><code>cd /home/$USER/MagicMirror<br>npm run start</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Voilà, vous verrez maintenant des nouvelles beaucoup plus intéressantes sur votre écran.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9786,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/raspberrytips-feed.jpg" alt="" class="wp-image-9786"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>J’espère que vous avez une meilleure compréhension de comment vous pouvez facilement modifier le fichier de configuration par défaut pour répondre à vos besoins. Vous êtes libre de changer les paramètres, de supprimer les modules inutiles ou de changer la position des modules comme vous le souhaitez.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Faire des copies du fichier de configuration comme sauvegarde régulièrement est probablement une bonne idée, au cas où vous briseriez quelque chose en faisant ces changements.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Accès à distance au Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme pour la plupart des projets, je trouve plus facile de modifier le fichier de configuration depuis mon ordinateur (via SSH). De plus, il existe un moyen de voir les résultats dans votre navigateur plutôt que sur l’écran du Raspberry Pi. De cette façon, si vous avez deux écrans, vous pouvez modifier la configuration sur l’un et voir le résultat sur l’autre.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si vous êtes intéressé à faire la même chose, voici comment faire :</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Ouvrez le fichier de configuration:<br><code>nano /home/$USER/MagicMirror/config/config.js</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Modifiez la ligne “address”. Vous pouvez soit mettre l’adresse IP actuelle du Raspberry Pi, soit “0.0.0.0” si vous voulez que cela fonctionne même si le Raspberry Pi passe à une autre IP sur votre réseau. Dans mon cas, je préfère la deuxième option, car je n’utilise pas d’adresse IP statique:<br><code>address: "0.0.0.0"</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Le port par défaut est 8080. Vous n’avez besoin de le modifier que si vous avez déjà un service qui l’utilise. Si votre configuration Raspberry Pi est dédiée à ce projet, vous pouvez le laisser tel quel.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ensuite, vous devez également changer la ligne “ipWhitelist” pour permettre à votre ordinateur d’accéder à distance. Même chose ici, si votre ordinateur a une IP statique, ajoutez-la simplement à la liste. Sinon, autorisez toutes les adresses IP.<br>Avec une IP statique: <code>ipWhitelist: ["192.168.1.10", "127.0.0.1", "::ffff:127.0.0.1", "::1"]</code><br>Permettre à tous: <code>ipWhitelist: []</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --><!-- wp:image {"id":9799,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-allow-remote-1024x228.jpg" alt="" class="wp-image-9799"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cela devrait suffire pour le moment. Vous pouvez activer HTTPS si vous le voulez, mais vous aurez besoin d’un certificat, ce qui n’est pas nécessaire si c’est juste pour voir vos modifications en temps réel.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Redémarrez l’application Magic Mirror et vérifiez que vous pouvez y accéder depuis votre ordinateur en ouvrant l’URL http://<IP>:8080 dans votre navigateur. Si vous ne savez pas comment <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/find-current-ip-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="96" target="_blank" data-lasso-id="2795">trouver l’adresse IP de votre Raspberry Pi</a>, cliquez sur ce lien pour lire mon tutoriel sur le sujet.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Utiliser cela est plus pratique et peut également aider à déboguer la plupart des problèmes, comme les erreurs JavaScript, en utilisant les outils de développement dans votre navigateur.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Réparer le widget Météo sur votre Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Par défaut, un widget météo est activé en haut à droite de l’écran du Magic Mirror, mais il peut ne pas fonctionner. Il affiche “Chargement…” tout le temps. Si c’est le cas, voici comment le réparer :</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Allez sur <a rel="noopener" href="https://openweathermap.org/" target="_blank" data-lasso-id="2796">OpenWeatherMap</a> et créez un compte.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Une fois connecté, cliquez sur “API keys” et générez une nouvelle clé API pour votre projet Magic Mirror.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Vous recevrez une chaîne de caractères aléatoires. Copiez-la.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ouvrez le fichier de configuration et trouvez cette partie : <br><img decoding="async" class="wp-image-9792" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/weather-api-key.jpg" alt=""><br>Mettez votre clé API dans les deux emplacements. La première est pour la météo actuelle, la seconde pour les prévisions météo.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Redémarrez votre application Magic Mirror pour appliquer les modifications.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>La météo de New York devrait maintenant être affichée sur votre écran. <strong>Pour afficher la météo d’un autre endroit, changez les deux champs “location” et “locationID” pour les deux modules. Vous pouvez trouver les valeurs à définir en téléchargeant et extrayant <a rel="noopener" href="https://bulk.openweathermap.org/sample/city.list.json.gz" target="_blank" data-lasso-id="2797">ce fichier</a>.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ce fichier est volumineux car il contient toutes les villes du monde, il est donc préférable de le faire dans un terminal ou via SSH :</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Téléchargez le fichier sur le Raspberry Pi :<br><code>wget https://bulk.openweathermap.org/sample/city.list.json.gz</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Extrayez le fichier :<br><code>gunzip city.list.json.gz</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Utilisez grep pour trouver rapidement l’ID correspondant, quelque chose comme cela devrait marcher :<br><code>grep "Boise" -B1 -A2 city.list.json</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Vous obtiendrez probablement plusieurs résultats, c’est pourquoi je garde deux lignes sous le nom de la ville, pour obtenir le champ de l’état et du pays.<br>Vous pouvez même augmenter cela pour obtenir la longitude et la latitude.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:image {"id":9793,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/search-city-id.jpg" alt="" class="wp-image-9793"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Choisissez l’ID correspondant à votre ville et changez la valeur dans le fichier de configuration. Après avoir redémarré le Magic Mirror, il devrait être mis à jour avec la bonne prévision météo.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9801,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror-meteo-fixed.jpg" alt="" class="wp-image-9801"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Changer la Position des Widgets sur Votre Miroir Magique</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme vous l’avez vu, chaque module est réglé pour s’afficher à un endroit spécifique, mais il peut être compliqué de comprendre la logique derrière cela. Voici donc les emplacements possibles que vous pouvez utiliser :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>top_bar </strong>et <strong>bottom_bar</strong> : bande supérieure et inférieure en pleine largeur.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>top_left</strong>, <strong>top_center</strong> et <strong>top_right</strong> : juste sous la barre supérieure, avec trois colonnes.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>bottom_left</strong>, <strong>bottom_center</strong> et <strong>bottom_right</strong> : au-dessus de la barre inférieure, avec 3 colonnes.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>upper_third</strong>, <strong>middle_center</strong> et <strong>lower_third</strong> : ce sont les trois régions situées au milieu de l’écran.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si ce n’est pas assez clair, vous pouvez trouver une excellente explication visuelle sur les forums de Magic Mirror (<a rel="noopener" href="https://forum.magicmirror.builders/topic/286/regions/2" target="_blank" data-lasso-id="2798">ici</a>).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Démarrage Automatique du Miroir Magique</h3> <!-- /wp:heading --><!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si vous envisagez d’utiliser votre Magic Mirror comme un appareil autonome, vous en aurez probablement besoin qu’il se lance automatiquement lorsque le Raspberry Pi démarre. C’est particulièrement utile si vous enfermez votre Magic Mirror dans un cadre en bois avec un verre à double sens.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pour ce faire, la façon la plus simple que j’ai trouvé est d’utiliser PM2. PM2 est un gestionnaire de processus pour une application NodeJS. C’est un peu comme les commandes <em>systemd </em>ou <em>service </em>auxquelles vous avez peut-être l’habitude sur Linux, mais pour les processus NodeJS. Voici comment l’utiliser :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Installez PM2 avec la commande:<br><code>sudo npm install -g pm2</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Réglez PM2 pour démarrer automatiquement au boot:<br><code>pm2 startup</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Créez un script pour démarrer l’application Magic Mirror:<br><code>nano /home/$USER/mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Collez ces lignes dans ce fichier:<br><code>cd ./MagicMirror<br>DISPLAY=:0 npm start</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Enregistrez et quittez (CTRL+X)</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ajoutez la permission d’exécution:<br><code>chmod+x mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Démarrez le Magic Mirror avec PM2:<br><code>pm2 start mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Une fois démarré, enregistrez l’état actuel avec :<br><code>pm2 save<br></code>En faisant cela, il démarrera automatiquement au démarrage.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Une fois terminé, vous allez maintenant utiliser PM2 pour gérer l’application Magic Mirror. Vous aurez accès à des commandes pratiques comme :</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Redémarrer Magic Mirror (après tout changement de configuration) :<br><code>pm2 restart mm</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Fermer l’application :<br><code>pm2 stop mm<br></code>Pour la redémarrer par la suite, utilisez :<br><code>pm2 start mm.sh</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Afficher les journaux récents de Magic Mirror :<br><code>pm2 logs mm</code><br>C’est très utile pour dépanner toute erreur ou si l’écran ne s’affiche plus après un changement de configuration.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Installer de nouveaux modules sur votre Magic Mirror</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Tout cela est déjà assez sympa, vous avez un tableau de bord net avec la date/l’heure, un calendrier, la météo et les actualités. Mais ce n’est que le début.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Présentation des modules Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Le Magic Mirror est une application modulaire, ce qui signifie que vous pouvez télécharger et installer de nouveaux widgets de la communauté. <a href="https://github.com/MagicMirrorOrg/MagicMirror/wiki/3rd-Party-Modules" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La plupart d’entre eux sont listés ici</a>, mais vous pouvez aussi trouver des modules de développeurs aléatoires sur GitHub. Cela inclut des choses comme :</strong></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Affichage des blagues.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Valeurs des cryptomonnaies et des actions en temps réel.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Affichage des horaires hebdomadaires pour les étudiants.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Connexion à la plupart des API ouvertes comme les applications Google, les compagnies de transport ou les services météo.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Tout ce dont vous pourriez avoir besoin est probablement déjà disponible sous forme de module pour votre tableau de bord. Et sinon, vous pouvez créer vos propres modules avec un peu de JavaScript. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Gestionnaire de modules Magic Mirror</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Il est possible de télécharger et d’installer chaque module séparément en clonant le projet GitHub pour chacun d’entre eux, en lisant la documentation et en suivant les étapes de configuration. Mais je trouve ça un peu compliqué, et puisqu’un gestionnaire de modules existe, je pense que c’est une bonne idée d’essayer de l’utiliser en premier.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Le gestionnaire de modules se nomme “mmpm” et peut être installé sur votre Raspberry Pi en suivant ces étapes :</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Installez les prérequis :<br><code>sudo apt install libffi-dev nginx-full -y</code></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Ensuite, le package lui-même :<br><code>python3 -m pip install --upgrade --no-cache-dir mmpm</code><br>Sur Bookworm, vous devez faire cette commande dans un environnement virtuel (<a href="https://raspberrytips.com/python-virtual-environments/" data-type="post" data-id="21688">explication ici</a>).<br><img decoding="async" class="wp-image-44207" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/magicmirror_module_manager_venv.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Exécutez l’installateur :<br><code>mmpm guided-setup<br></code>Il vous posera plusieurs questions sur votre installation actuelle et comment vous prévoyez d’utiliser le gestionnaire de modules. Il n’y a pas de mauvaise réponse. Suivez l’assistant et répondez à tout (la plupart des questions sont répondues par “oui” ou “non”).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Une fois que vous avez répondu à tout, exécutez les commandes qu’il vous donne : <br><img decoding="async" class="wp-image-44208" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/mmpm_cmds.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Enfin, exécutez cette commande pour ajouter la commande <em>mmpm</em> à votre shell:<br><code>echo 'export PATH="$PATH:$HOME/.local/bin"' >> ~/.bashrc && source ~/.bashrc</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une fois terminé, vous pouvez utiliser cet outil avec les commandes suivantes :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm search <string></strong>: Un moteur de recherche pour trouver des modules correspondants (comme apt search).<br><code>mmpm search calendar</code></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm list</strong>: Liste tous les packages. Des options sont disponibles pour filtrer cette liste, utilisez –help pour les voir.<br><code>mmpm list -a #Liste tout<br>mmpm list --help #Montre l'aide<br>mmpm list -i #Liste les modules installés</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm install <name></strong>: Installe un nouveau package.<br><code>mmpm install random_quotes</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>mmpm -h</strong>: Obtenez plus d’aide sur cet outil.<img decoding="async" class="wp-image-9797" style="width: px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/mmpm-help.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Comment installer un nouveau module Magic Mirror avec mmpm</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pour être sûr que tout est clair, prenons un exemple. Disons que vous voulez afficher une citation inspirante sur l’écran de votre Magic Mirror. Voici les étapes faciles à suivre pour le faire :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Cherchez le nom d’un module qui fait ceci:<br><code>mmpm search quotes</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Il y a deux résultats disponibles, prenons le module random_quotes:<br><code>mmpm install random_quotes</code><br><img decoding="async" class="wp-image-44209" style="width: 650px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/mmpm_random_quotes.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Une fois fait, la seule chose à faire est de modifier vos fichiers de configuration, et ajoutez ces lignes dans la section <strong>modules [ ]</strong> :<br><code>{<br> module: "random_quotes",<br> position: "bottom_bar"<br>},</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Redémarrez le Magic Mirror avec :<br><code>pm2 restart mm</code></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Voilà, vous obtiendrez maintenant une citation aléatoire en bas de votre écran. </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":9798,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2021/11/random_quotes.jpg" alt="" class="wp-image-9798"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>La plupart des modules auront des options supplémentaires que vous pouvez ajouter. Par exemple, avec celui-ci, vous pouvez définir le type de citations que vous souhaitez voir (succès, inspiration, motivation, etc.). Vous devez consulter la documentation du module pour connaître tous les détails.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Vidéo</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:embed {"url":"https://youtu.be/mg3I5lRKKw0","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://youtu.be/mg3I5lRKKw0 </div></figure> <!-- /wp:embed --><!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Aller plus loin avec le Miroir Magique</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous êtes maintenant prêt à installer le Miroir Magique de la bonne manière sur votre Raspberry Pi, y compris le gestionnaire de services et à utiliser mmpm pour installer de nouveaux modules. Je pense que c’est un projet génial pour aller plus loin avec un Raspberry Pi, vous pourriez découvrir NodeJS, git et certaines utilisations d’API populaires en cours de route.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Évidemment, ce guide n’est qu’une introduction, car les possibilités sont infinies avec ce projet. Faites-moi savoir si vous rencontrez des problèmes ou si vous avez besoin d’autres tutoriels sur des aspects spécifiques de ce projet (comme la création d’un nouveau module), je pourrais essayer de mon côté et éventuellement partager mes découvertes dans d’autres articles.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Quoi qu’il en soit, voici quelques articles associés qui pourraient vous intéresser pendant la construction de votre Miroir Magique :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list {"type":"video"} --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/viral-raspberry-pi-projects/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/viral-raspberry-pi-projects/">6 Projets Raspberry Pi qui ont fait le buzz (Essayez-les vous-même !)</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a data-lasso-id="2801" href="https://raspberrytips.com/find-current-ip-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="96">Comment trouver l’adresse IP actuelle d’un Raspberry Pi ?</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/raspad-3-review/" data-type="post" data-id="8933" data-lasso-id="2802">RasPad 3 : Revue honnête après un mois d’utilisation</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/sunfounder-ts10-review/" data-type="post" data-id="9601" data-lasso-id="2803">Revue de l’écran tactile 10.1″ Raspberry Pi (Avec photos)</a></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-projects-for-home/" data-type="post" data-id="653" data-lasso-id="2804">25 idées géniales de projets Raspberry Pi à réaliser à la maison</a></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:block {"ref":7885} /-->
2025-09-16 17:09:17	Kali Linux is an open-source Linux distribution, based on Debian, that includes all apps for secur…	Completed	2025-09-16 17:22:29	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>Kali Linux es una distribución de Linux de código abierto, basada en Debian, que incluye todas las aplicaciones para expertos en seguridad y pruebas de penetración. Lo probé en mi Raspberry Pi y compartiré lo que aprendí en este artículo.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Kali Linux está disponible directamente en Raspberry Pi Imager, bajo “Otro sistema operativo de propósito específico” en la lista de sistemas operativos. Se puede flashear en cualquier tarjeta SD para comenzar directamente en cualquier modelo de Raspberry Pi (todas las versiones son compatibles).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En este artículo, te mostraré las dos formas de instalar Kali Linux en tu Raspberry Pi y, lo que es más importante, cómo comenzar con ella una vez instalada (incluyendo una introducción a algunas de las aplicaciones predeterminadas).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":19563} /--> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">¿Qué es Kali Linux?</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:image {"id":4180,"sizeSlug":"large","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2020/05/kali-linux-logo.jpg" alt="logotipo de kali linux" class="wp-image-4180"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Kali Linux es una distribución de Linux basada en Debian que incluye herramientas de seguridad y pruebas de penetración</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Anteriormente conocido como Backtrack, muchas empresas de seguridad (y también hackers) lo utilizan.<br>Asociado con Raspberry Pi, se convierte en un kit de piratería perfecto. Puede que lo hayas visto en la serie de televisión “Mr. Robot”:</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=w6ydHiwG8l8","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=w6ydHiwG8l8 </div></figure> <!-- /wp:embed --> <!-- wp:paragraph --> <p>Kali Linux está disponible para la arquitectura ARM, por lo que su instalación es relativamente sencilla. Ahora vamos a ver cómo instalarlo en tu Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Cómo instalar Kali Linux</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Kali Linux ha sido añadido recientemente a Raspberry Pi Imager, por lo que es la forma más fácil de instalarlo en un Raspberry Pi. Puedes usar esta herramienta de la misma forma que cuando instalas Raspberry Pi OS, o descargar la imagen manualmente desde la web oficial si lo prefieres.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Te voy a mostrar ambas opciones en este tutorial. A veces, la descarga manual es mejor para obtener la imagen más reciente disponible.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Opción 1: Usar Raspberry Pi Imager</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si aún no tienes Raspberry Pi Imager en tu ordenador, <a href="https://www.raspberrypi.com/software/" data-type="link" data-id="https://www.raspberrypi.com/software/">puedes descargarlo desde aquí</a> en la web oficial.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Normalmente lo tengo en mi computadora y flasheo todos mis sistemas desde allí, pero también es posible <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-imager-guide/" data-type="post" data-id="11264">usar Raspberry Pi Imager en una Raspberry Pi</a> si no tienes una computadora.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Una vez que Raspberry Pi Imager esté listo, aquí están los pasos para instalar Kali Linux en la tarjeta SD:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Iniciar Raspberry Pi Imager.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Click en <strong>Choose OS</strong> para abrir la lista de sistemas operativos.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Desplázate hasta <strong>Other specific-purpose OS</strong> y selecciona <strong>Kali Linux</strong>.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Obtendrás una lista de todas las versiones disponibles, con los modelos de Raspberry Pi correspondientes:<br><img decoding="async" class="wp-image-44063" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/imager_kali_linux_2025.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Selecciona la versión que quieres instalar</strong> (se recomienda 64-bit si es compatible).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Luego haz click en <strong>Choose Storage</strong> para seleccionar tu tarjeta SD (también puedes <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-usb-vs-sd/">usar una unidad USB</a> si lo prefieres).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Finalmente, haz clic en <strong>Siguiente</strong> para comenzar el proceso de escritura.<br>(Cuando se te pregunte si quieres aplicar “personalización del SO”, elige No.)</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Después de unos minutos, Kali Linux debería estar listo para usar, puedes expulsar el dispositivo de almacenamiento y conectarlo a la Raspberry Pi. Omita las instrucciones de la Opción 2 a continuación, y continúa leyendo en la sección de Rápida Introducción que sigue.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Nota</strong>: Otra opción es <a href="https://raspberrytips.com/network-boot-with-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11764">usar la función de arranque por red</a> si está disponible, para flashear directamente Kali Linux desde la Raspberry Pi, sin necesidad de un sistema operativo anterior. Haz clic en el enlace para obtener más detalles sobre esto.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Opción 2: Descargar Kali Linux Manualmente</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Las imágenes de Kali Linux para la arquitectura ARM provienen de <a href="https://www.kali.org/get-kali/#kali-arm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">la página oficial de descargas</a>.</strong><br><br>Asegúrate de que estás en la lista de imágenes ARM (<a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-cpu/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-cpu/">la arquitectura de la Raspberry Pi</a>), y haz clic en el nombre de la imagen o en el icono de descarga para descargarlo directamente. También puedes hacer clic en “torrent” para descargar el archivo torrent.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":44064,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_download_ARM_2025-1024x440.jpg" alt="" class="wp-image-44064"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Torrent es un protocolo de descarga peer-to-peer (incluso puedes <a href="https://raspberrytips.com/torrent-box-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11145">alojar un servidor Torrent en tu Pi</a>), a veces es más rápido descargar una imagen con el en lugar de la usual descarga HTTP, pero es puramente opcional.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Como puedes ver, <strong><a rel="noopener" data-lasso-id="3210" href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-history/" data-type="post" data-id="1104" target="_blank">todos los modelos de Raspberry Pi</a> están soportados en este momento,</strong> desde el original Raspberry Pi 1 hasta los últimos modelos. Así que, no tienes que preocuparte, Kali Linux se ejecutará en tu Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Una vez que tu imagen está descargada, puedes <a href="https://raspberrytips.com/install-balena-etcher-ubuntu/" data-type="post" data-id="13068">usar Balena Etcher</a> o <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-imager-guide/" data-type="post" data-id="11264">Raspberry Pi Imager</a> para copiarla en una nueva tarjeta SD (o unidad USB).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>No explicaré todo con detalle (consulta los enlaces anteriores si necesitas más orientación), pero básicamente, los pasos principales son:</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Consigue la imagen de Kali Linux en tu ordenador.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Instala y ejecuta Etcher o Raspberry Pi Imager.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Haz clic en el primer botón para navegar hasta la ubicación de la imagen de Kali Linux (en Imager, usa “Usar personalizado”).<br><img decoding="async" class="wp-image-13081" style="width: 500px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2022/09/install-balena-etcher-ubuntu.jpg" alt="instalar y usar balena etcher en ubuntu"><br><img decoding="async" class="wp-image-17067" style="" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/04/imager-custom.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Haz clic en el segundo botón para seleccionar el medio (tu tarjeta SD o unidad USB).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Haz clic en el tercer botón para iniciar el proceso. Debería tardar unos minutos en completarse.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Comenzando con Kali Linux en Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>No importa cómo hayas realizado la instalación en la tarjeta SD, ahora estás listo para iniciar Kali Linux por primera vez en tu Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Primer arranque en Kali Linux</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Simplemente inserta la tarjeta SD en tu Raspberry Pi y enciéndela.</strong><br>Déjala unos minutos para realizar algunas tareas de configuración la primera vez que la arranques.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Kali Linux comenzará directamente con la pantalla de inicio de sesión.<br>Sin preguntas ni nada, inserta, inicia y espera.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>No hay nada más que hacer.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Iniciar una Sesión en Kali Linux</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Una vez que Kali ha comenzado, necesitas iniciar sesión:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44066,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_login_screen_2025.jpg" alt="" class="wp-image-44066"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>En Raspberry Pi, el nombre de usuario predeterminado de Kali Linux es “kali” con la misma contraseña “kali”.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Advertencia</strong>: el teclado predeterminado está configurado en <em>en-US</em>, lo que significa que puedes necesitar escribir algo como “kqli” si (como yo) utilizas otro tipo de teclado.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ahora estás en el Escritorio de Kali Linux, y podemos pasar a la configuración.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44067,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_desktop_2025.jpg" alt="" class="wp-image-44067"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Se recomienda encarecidamente que cambies estas credenciales rápidamente.<br><strong>Puedes cambiarla abriendo un terminal y escribiendo el comando:</strong><br><code>passwd</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Configuración del teclado</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si no usas un teclado de EE. UU., puedes cambiarlo en el menú principal > Configuración > Teclado.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Ve a la pestaña “Layout” y desactiva las opciones predeterminadas del sistema.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Agrega tu configuración personalizada. </li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Establecerlo por defecto (o quitar la configuración de EE. UU.).</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pero ten cuidado, en la pantalla de inicio de sesión mantendrás la configuración de EE. UU. por el momento, por lo que elige tu contraseña sabiendo esto.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Conectarte a tu red (DHCP)</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Sigue esta parte solo si hay un servidor DHCP en tu red.<br>Si no, o si necesitas establecer una dirección IP estática, mira la siguiente sección.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Ethernet:</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si puedes conectarte a una red Ethernet, es la solución más fácil: simplemente <a href="https://raspberrytips.com/connect-ethernet-raspberry-pi/">conecta el cable RJ45 a tu Raspberry Pi</a> y espera unos segundos para que se le asigne una dirección IP, no hay nada más que hacer.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Wi-Fi:</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>La tarjeta Wi-Fi de Raspberry Pi es compatible de forma nativa, por lo que la conexión a una red inalámbrica tampoco debería ser complicada.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En el escritorio de Kali, haz clic en el icono de red en la parte superior derecha y elige el SSID de tu red Wi-Fi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44068,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_wifi_2025.jpg" alt="" class="wp-image-44068"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ingresa la contraseña de tu punto de acceso y espera unos momentos para conectarte.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Obtener la dirección IP actual:</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Independientemente de tu modo de conexión, puedes verificar la dirección IP obtenida con el comando ip:</strong><br><code>ip address</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Las direcciones IP se indican en la segunda línea de cada interfaz, después de la palabra clave “inet”.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":36098,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/kali_ip_addr.jpg" alt="kali ip address" class="wp-image-36098"/><figcaption class="wp-element-caption">eth0 = Ethernet, wlan0 = Wi-Fi</figcaption></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph {"align":"left"} --> <p class="has-text-align-left">Recomiendo no activar ambas interfaces simultáneamente, incluso si parece funcionar. Este <a href="https://raspberrytips.com/mistakes-raspberry-pi-beginners-make/">error común</a> ocasionó problemas con los tiempos de respuesta, probablemente un problema con el enrutamiento (no me tomé más tiempo para ver esto, pero desactivar el Wi-Fi solucionó el problema).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":8127} /--> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Establecer una dirección IP estática</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Una dirección IP estática te permitirá elegir la dirección IP asociada a tu Raspberry Pi</strong>, y por lo tanto encontrarlo más fácilmente después.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>La forma más fácil es usar la interfaz gráfica (busca <strong>Configuración de red avanzada</strong> en el menú principal), o a través de <a href="https://raspberrytips.com/nmtui-linux-command/">esta herramienta</a> en un terminal:<br><code>sudo nmtui</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":16504,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/03/nmtui-kali-1024x248.jpg" alt="establecer ip estática kali linux" class="wp-image-16504"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>En ella, puedes configurar tu red inalámbrica, pero también establecer una IP estática si es necesario.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Pero también puedes hacer lo mismo manualmente, editando directamente el archivo de configuración:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Abre un terminal o conecta con SSH.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Para configurar una IP estática, abre el archivo /etc/network/interfaces:<br><code>sudo nano /etc/network/interfaces</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Verás algo como esto:<br><code>auto eth0 <br>iface eth0 inet dhcp</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Reemplázalo con algo como esto:<br><code>auto eth0 <br>iface eth0 inet static <br>address 192.168.1.200 <br>netmask 255.255.255.0 <br>gateway 192.168.1.1 <br>nameserver 8.8.8.8</code><br>Reemplazar las IPs indicadas por lo que se ajuste a tu red.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Reinicia tu Raspberry Pi o desenchufa/enchufa el cable de red para actualizar tu IP.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Actualizar Kali</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Como en cualquier nueva instalación, <strong>es una buena práctica actualizar tu sistema</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Kali se basa en Debian, por lo que puedes usar los <a rel="noopener" data-lasso-id="3213" href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-commands/" data-type="post" data-id="748" target="_blank">mismos comandos que en Raspberry Pi OS</a>:<br><code>sudo apt update<br>sudo apt upgrade</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Nota</strong>: En mis pruebas, obtuve este error al intentar actualizar: <br><code>The following packages have unmet dependencies:<br>libwacom9 : Depends: libwacom-common (= 2.1.0-2) but 1.12-1 is to be installed<br>E: Broken packages</code><br>Lo arreglé con:<br><code>sudo apt reinstall libwacom-common && sudo apt reinstall libwacom-bin</code><br>Luego, apt upgrade debería funcionar.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Por cierto, tenía más de 900 paquetes para actualizar, así que creo que es muy importante hacerlo de inmediato.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Habilitar SSH y VNC</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ahora que ya tenemos una dirección IP fija, es hora de hacer que nuestra Raspberry Pi sea accesible desde otro ordenador de la red.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Habilitar SSH</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>En teoría, SSH ya está instalado y habilitado por defecto.<br>Si no tienes acceso, probablemente sea porque necesitas iniciar el servicio:<br><code>systemctl start ssh</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si necesitas ayuda con SSH, <a href="https://raspberrytips.com/ssh-password-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="145" target="_blank" rel="noopener" data-lasso-id="3214">mira este tutorial</a> aquí.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Habilitar VNC</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>VNC te permitirá tener acceso a un escritorio remoto en tu Raspberry Pi.<br></strong>En las últimas versiones de Kali Linux, el servidor TightVNC ya está instalado.<br>Solo necesitas establecer una contraseña:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Abre una terminal o conéctate a través de SSH.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Usa este comando para definir tu contraseña:</strong><br><code>vncserver</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Una vez hecho, esto también iniciará el servicio.</strong></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ahora puedes conectar a tu Raspberry Pi en Kali Linux con cualquier visor VNC.<br>Por ejemplo, en Ubuntu:<br><code>sudo apt install xtightvncviewer <br>xtightvncviewer 192.168.1.200:1 </code><br>En Windows, puedes <a rel="noopener" href="https://www.tightvnc.com/" target="_blank" data-lasso-id="3215">descargar TightVNC aquí</a>. No olvides agregar “:1” después de la dirección IP.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Recuerda que VNC no es un protocolo seguro, y si lo usas en casa está bien, pero en una red más extensa, es mejor usarlo a través de un túnel SSH </strong>por ejemplo.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Puedes encontrar más detalles sobre el <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/remote-desktop-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="323" target="_blank" data-lasso-id="3216">escritorio remoto en Raspberry Pi</a> en mi tutorial vinculado aquí. Es para Raspberry Pi OS, pero es muy similar.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Nota</strong>: Si obtienes una pantalla gris al conectarte a Kali Linux con VNC Viewer, es posible que necesites editar el archivo de inicio de VNC:<br><code>sudo nano ~/.vnc/xstartup<br></code>Pega estas líneas (respaldando el contenido antiguo si es necesario):<br><code>!/bin/sh<br>unset SESSION_MANAGER<br>unset DBUS_SESSION_BUS_ADDRESS<br>startxfce4 &<br><br>[ -x /etc/vnc/xstartup ] && exec /etc/vnc/xstartup<br>[ -r $HOME/.Xresources ] && xrdb $HOME/.Xresources<br>xsetroot -solid grey<br>vncconfig -iconic &</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Herramientas de Kali Linux</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ok, tienes lista la configuración básica de Kali Linux. Por supuesto, podrías usarlo como un sistema operativo de escritorio estándar, pero supongo que si instalaste Kali, probablemente estés interesado en algunas de las aplicaciones predeterminadas que vienen con él.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vamos a enumerar algunas de ellas con una breve demostración de cómo funcionan. Esta no es una lista exhaustiva de tutoriales completos para cada uno, pero te dará una mejor idea de las posibilidades.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Cambiar la dirección MAC</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Una dirección MAC es un identificador único para cada adaptador de red</strong>. Depende de cada fabricante, y a menudo se utiliza para dar acceso a una parte específica de la red a ordenadores restringidos. Un servidor DHCP también puede asignar siempre la misma IP a una dirección MAC.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Por ejemplo, puedes configurar tu red Wi-Fi para que solo permita el acceso a tu dirección MAC, e impida la conexión de cualquier otra persona. Tengo un artículo detallado aquí sobre cómo <a data-lasso-id="3217" href="https://raspberrytips.com/mac-address-on-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="3244" target="_blank" rel="noopener">encontrar la dirección MAC de tu Raspberry Pi</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>MacChanger es una herramienta que te permite realizar un spoofing de la dirección MAC</strong>, es decir, hacerse pasar por otra persona.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Uso</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Instálalo si es necesario (en mis pruebas ya venía preinstalado):<br><code>sudo apt install macchanger</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Consulta tu dirección MAC actual:<br><code>ip addr show eth0</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":36099,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/kali_mac_address.jpg" alt="kali show mac address" class="wp-image-36099"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Probablemente necesitarás <a href="https://raspberrytips.com/sudo-linux-command/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/sudo-linux-command/">sudo</a> para ejecutar los siguientes comandos.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Desactiva tu tarjeta de red:<br></strong><code>ip link set eth0 down</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Obtén una dirección MAC aleatoria:</strong><br><code>macchanger -r eth0</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Configura una dirección MAC específica:<br></strong><code>macchanger -m XX:XX:XX:XX:XX:XX eth0</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Reinicia para restablecer a la dirección MAC estándar.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Hackear contraseña Wi-Fi</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>AirCrack-NG es una de las herramientas más populares en Kali Linux.<br>Es un conjunto completo de herramientas para probar la seguridad inalámbrica de una red.<br>Ofrece herramientas para<strong> monitorear, atacar, probar y hackear redes Wi-Fi</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Uso</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Necesitas desconectar el Wi-Fi en tu Raspberry Pi antes de empezar:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Luego verifica que tu tarjeta de red es compatible (lo es):<br><code>sudo airmon-ng</code><br><img decoding="async" class="wp-image-11041" style="" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2020/05/kali-airmon.jpg" alt="herramienta airmon-ng"></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Comienza a monitorear:<br><code>sudo airmon-ng start wlan0</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Muestra las redes inalámbricas disponibles:<br><code>sudo airodump-ng wlan0mon</code><br><img decoding="async" class="wp-image-1790" style="width: 500px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2019/03/airodump.gif" alt="airodump scan wifi networks"></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>¡Y estás listo para empezar!<br><a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/hacking-wifi-raspberry-pi/" target="_blank" data-lasso-id="3218">Puedes leer esta publicación para obtener más detalles sobre cómo hacer esto</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Fuerza Bruta con Hydra</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>La fuerza bruta es un método de descifrado de contraseñas que prueba contraseñas desde un diccionario u otras fuentes, e intenta todas las posibilidades hasta que funciona.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Hydra es una herramienta para hacer fuerza bruta muy rápida</strong> desde el software Kali Linux y que admite muchos protocolos.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Uso</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Primero, necesitarás una lista de contraseñas y ponerla en un archivo</strong>, como /root/passwords.txt (una por línea).<br>Puedes encontrar las contraseñas más comunes en Internet, o generar las tuyas.<br>Para la prueba, simplemente coloca algunas contraseñas aleatorias manualmente en el archivo.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Luego puedes probarlo, por ejemplo, he decidido forzar bruscamente SSH en mi computadora desde la Raspberry Pi:<br></strong><code>hydra -l root -P /root/passwords.txt -t 6 ssh://192.168.222.51</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si reviso mi /var/log/auth.log, puedo ver los intentos desde la Raspberry Pi:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:preformatted --> <pre class="wp-block-preformatted">May 22 15:55:37 ubuntu sshd[2481]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37226 ssh2 May 22 15:55:37 ubuntu sshd[2487]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37234 ssh2 May 22 15:55:39 ubuntu sshd[2482]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37228 ssh2 May 22 15:55:39 ubuntu sshd[2484]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37232 ssh2</pre> <!-- /wp:preformatted --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Analizador de Paquetes</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Un analizador de paquetes (o sniffer) es una herramienta que puede interceptar tráfico de la red y capturarlo para analizarlo</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En Kali Linux, puedes <a href="https://raspberrytips.com/install-wireshark-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11374" target="_blank" rel="noreferrer noopener">usar Wireshark</a>, el cual es la herramienta más usada para analizar tráfico de red.<br>Es una herramienta gráfica, pero puedes capturar paquetes con tcpdump u otra cosa, y luego abrirlo con Wireshark.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Uso</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Puedes encontrar la aplicación en el menú de Aplicaciones, bajo <strong>Descubrimiento > Detección de Red</strong>:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Lanza la aplicación, y luego ve a Capture > Start.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Ahora verás todos los paquetes de la red.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Haz clic en Stop cuando quieras.</strong></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Luego hay muchas funciones que puedes usar para filtrar o analizar lo que has capturado:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":4195,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2020/05/kali-wireshark.jpg" alt="analizador de paquetes wireshark" class="wp-image-4195"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Relacionado</strong>: <a href="https://raspberrytips.com/install-wireshark-on-ubuntu/" data-type="post" data-id="12611">Comenzando con Wireshark en Ubuntu</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Inyección SQL</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>La inyección SQL es una técnica para atacar aplicaciones inseguras, incluyendo la inyección de código en campos de usuarios que no están protegidos</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Esta técnica se usa principalmente para atacar <a href="https://raspberrytips.com/best-database-raspberry-pi/">sitios web que tienen bases de datos</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Por ejemplo, si reemplazas un parámetro de la URL, digamos <em>?user=tunombre</em> con algo como <em>?user=tunombre ‘ OR 1</em>. Si el campo está mal protegido, la consulta SQL se modificará y devolverá todos los datos, no solo los de tu usuario.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>En Kali Linux, la <strong>herramienta sqlmap permite probar vulnerabilidades de inyección SQL</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Uso</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>La herramienta sqlmap es sencilla de usar.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Solo necesitas poner la URL de la página a probar, algo así:<br><code>sqlmap -u https://www.domain.com/?p=123</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":36100,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/kali_sqlmap_injection-1024x359.jpg" alt="kali sqlmap injection" class="wp-image-36100"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Una vez que has encontrado un agujero de seguridad, es posible profundizar más con esta herramienta para ver qué puedes obtener. Pero lo mejor que puedes hacer es arreglarlo.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Explotación de Vulnerabilidades</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Metasploit es una herramienta que te permitirá validar vulnerabilidades y utilizarlas</strong>.<br>Metasploit te permite automatizar el proceso de descubrimiento y explotación y te brinda las herramientas necesarias para realizar la fase de prueba manual de una prueba de penetración.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Uso</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Puedes iniciarla desde el <strong>menú principal > Ejecución > metasploit-framework</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Esta herramienta iniciará y abrirá una terminal que te permitirá usarla.<br>Por ejemplo, puedes usar nmap en el framework:<br><code>db_nmap -v -sV 192.168.222.1</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":11042,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2022/04/metasploit_scan-1024x557.jpg" alt="scan de metasploit" class="wp-image-11042"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>También puedes recopilar información sobre una <a href="https://www.rapid7.com/db/vulnerabilities" target="_blank" rel="noopener" data-lasso-id="3219">vulnerabilidad conocida</a> e intentar usarla:<br><code>db_rebuild_cache <br>search CVE-2018-9864 <br>use exploit/folder/folder/name</code></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Reemplaza el parámetro de búsqueda con tu ID de vulnerabilidad y usa la ruta de explotación que se muestra en los resultados de la búsqueda.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si estás interesado en aprender más, busca un buen tutorial sobre el tema (o <a data-lasso-id="3220" href="https://docs.rapid7.com/metasploit/msf-overview/" target="_blank" rel="noopener">lee la documentación</a>), ya que no es posible explicar todo en unas pocas líneas cortas.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Video Tutorial</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si quieres una guía visual, mira nuestro video sobre cómo instalar Kali Linux en tu Raspberry Pi:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=v1cXd0ps28Y","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"className":"wp-embed-aspect-16-9 wp-has-aspect-ratio"} --> <figure class="wp-block-embed is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube wp-embed-aspect-16-9 wp-has-aspect-ratio"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=v1cXd0ps28Y </div></figure> <!-- /wp:embed --> <!-- wp:paragraph --> <p>Subscríbete para obtener todos los demás videos sobre Raspberry Pi:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:shortcode --> <script src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <div class="g-ytsubscribe" data-channelid="UCy9KSeom3ngT7_FYKnNIShg" data-layout="full" data-count="hidden"></div> <!-- /wp:shortcode --> <!-- wp:paragraph --> <p>Hemos visto cómo <strong>instalar Kali Linux en Raspberry Pi</strong>, incluyendo los primeros pasos de la configuración del sistema, y algunas herramientas emocionantes para usar en esta distribución.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Como dije al principio, este artículo no es exhaustivo. Hay cientos de aplicaciones y la mayoría son bastante complicadas de manejar, lo que requeriría un artículo para cada una, pero ese no era el objetivo aquí (de hecho, tengo otro <a rel="noreferrer noopener" href="https://infosecscout.com" data-type="link" data-id="https://infosecscout.com" target="_blank">sitio web sobre Kali Linux</a> que puedes consultar si estás interesado en este tema).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Espero que este artículo haya sido útil de todos modos. Consulta los enlaces a continuación para obtener más recursos interesantes sobre el mundo de Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":7885} /-->
2025-09-12 09:32:59	Kali Linux is an open-source Linux distribution, based on Debian, that includes all apps for secur…	Completed	2025-09-12 09:46:21	Copy HTML code <!-- wp:paragraph --> <p>Kali Linux est une distribution Linux open-source, basée sur Debian, qui comprend toutes les applications pour les experts en sécurité et les tests de pénétration. Je l’ai testée sur mon Raspberry Pi, et je vais partager ce que j’ai appris dans cet article.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Kali Linux est disponible directement dans Raspberry Pi Imager, sous “Autres OS à usage spécifique” dans la liste des systèmes d’exploitation. Il peut être flashé sur n’importe quelle carte SD pour démarrer directement sur n’importe quel modèle de Raspberry Pi (toutes les versions sont supportées).</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans cet article, je vais vous montrer les deux façons d’installer Kali Linux sur votre Raspberry Pi, et surtout, comment commencer à l’utiliser une fois installé (y compris une introduction à certaines des applications par défaut).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":19563} /--> <!-- wp:block {"ref":7460} /--> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Qu’est-ce que Kali Linux?</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:image {"id":4180,"sizeSlug":"large","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2020/05/kali-linux-logo.jpg" alt="logo kali linux" class="wp-image-4180"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Kali Linux est une distribution Linux basée sur Debian qui comprend des outils de sécurité et de test de pénétration</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Anciennement connu sous le nom de Backtrack, de nombreuses entreprises de sécurité (et aussi des pirates) l’utilisent.<br>Associé à Raspberry Pi, il le transforme en un kit de piratage parfait. Vous l’avez peut-être vu dans la série télévisée “Mr. Robot”:</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=w6ydHiwG8l8","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"align":"center"} --> <figure class="wp-block-embed aligncenter is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=w6ydHiwG8l8 </div></figure> <!-- /wp:embed --> <!-- wp:paragraph --> <p>Kali Linux est disponible pour l’architecture ARM, donc l’installation est assez simple. Nous allons maintenant vous montrer comment l’installer sur votre Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Comment installer Kali Linux</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Kali Linux a récemment été ajouté à Raspberry Pi Imager, donc c’est la manière la plus facile de l’installer sur un Raspberry Pi. Vous pouvez utiliser cet outil de la même manière que lors de l’installation de Raspberry Pi OS, ou télécharger l’image manuellement depuis le site officiel si vous préférez.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Je vais vous montrer les deux options dans ce tutoriel. Parfois, le téléchargement manuel est préférable pour obtenir la dernière image disponible.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Option 1 : Utilisez Raspberry Pi Imager</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous n’avez pas déjà Raspberry Pi Imager sur votre ordinateur, <a href="https://www.raspberrypi.com/software/" data-type="link" data-id="https://www.raspberrypi.com/software/">vous pouvez le télécharger à partir de là</a> sur le site officiel.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>En général, je l’ai sur mon ordinateur et je flash tous mes systèmes à partir de celui-ci, mais il est également possible de <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-imager-guide/" data-type="post" data-id="11264">utiliser Raspberry Pi Imager sur un Raspberry Pi</a> si vous n’avez pas d’ordinateur.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une fois Raspberry Pi Imager prêt, voici les étapes pour installer Kali Linux sur la carte SD :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Démarrez Raspberry Pi Imager.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur <strong>Choisir un système d’exploitation</strong> pour ouvrir la liste des systèmes d’exploitation.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Faites défiler jusqu’à <strong>Autres systèmes d’exploitation spécifiques</strong> et sélectionnez <strong>Kali Linux</strong>.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Vous obtiendrez une liste de toutes les versions disponibles, avec les modèles Raspberry Pi correspondants:<br><img decoding="async" class="wp-image-44063" style="width: 700px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/imager_kali_linux_2025.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Sélectionnez la version que vous souhaitez installer</strong> (64 bits est recommandée si elle est prise en charge).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Puis cliquez sur <strong>Choisir stockage</strong> pour choisir votre carte SD (vous pouvez également <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-usb-vs-sd/">utiliser un lecteur USB</a> si vous préférez).</li> <!-- /wp:list-item --><!-- wp:list-item --> <li>Enfin, cliquez sur <strong>Suivant</strong> pour démarrer le processus d’écriture.<br>(Lorsqu’on vous demande si vous souhaitez appliquer la “personnalisation de l’OS”, choisissez Non.)</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Après quelques minutes, Kali Linux devrait être prêt à l’emploi, vous pouvez éjecter le périphérique de stockage et le brancher dans le Raspberry Pi. Ignorez les instructions de l’Option 2 ci-dessous, et continuez à lire à la section Mise en route qui suit.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Note</strong> : Une autre option est d’<a href="https://raspberrytips.com/network-boot-with-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11764">utiliser la fonction de démarrage réseau</a> si disponible, pour flasher directement Kali Linux depuis le Raspberry Pi, sans besoin d’un système d’exploitation préexistant. Cliquez sur le lien pour plus de détails à ce sujet.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Option 2 : Télécharger Kali Linux manuellement</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Les images de Kali Linux pour l’architecture ARM proviennent de <a href="https://www.kali.org/get-kali/#kali-arm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">la page officielle de téléchargement</a>.</strong><br><br>Assurez-vous simplement que vous êtes sur la liste des images ARM (<a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-cpu/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-cpu/">l’architecture du Raspberry Pi</a>), et cliquez sur le nom de l’image ou l’icône de téléchargement pour la télécharger directement. Vous pouvez également cliquer sur “torrent” pour télécharger le fichier torrent.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:image {"id":44064,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_download_ARM_2025-1024x440.jpg" alt="" class="wp-image-44064"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Torrent est un protocole de téléchargement peer-to-peer (vous pouvez même <a href="https://raspberrytips.com/torrent-box-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11145">héberger un serveur Torrent sur votre Pi</a>), parfois il est plus rapide de télécharger une image avec cela plutôt que le téléchargement HTTP habituel, mais c’est purement optionnel.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme vous pouvez le voir, <strong><a rel="noopener" data-lasso-id="3210" href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-history/" data-type="post" data-id="1104" target="_blank">tous les modèles de Raspberry Pi sont maintenant pris en charge,</a></strong> depuis le Raspberry Pi 1 original jusqu’aux derniers modèles. Vous n’avez donc pas à vous inquiéter, Kali Linux fonctionnera sur votre Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Une fois l’image téléchargée, vous pouvez soit <a href="https://raspberrytips.com/install-balena-etcher-ubuntu/" data-type="post" data-id="13068">utiliser Balena Etcher</a> ou <a href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-imager-guide/" data-type="post" data-id="11264">Raspberry Pi Imager</a> pour la flasher sur une carte SD (ou un lecteur USB) vierge .</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Je n’expliquerai pas tout en détail (consultez les liens précédents si vous avez besoin de plus de conseils), mais en gros, les principales étapes sont :</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Téléchargez l’image de Kali Linux sur votre ordinateur.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Installez et lancez Etcher ou Raspberry Pi Imager.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur le premier bouton pour naviguer jusqu’à l’emplacement de l’image de Kali Linux (sur Imager, utilisez “Utiliser personnalisé”).<br><img decoding="async" class="wp-image-13081" style="width: 500px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2022/09/install-balena-etcher-ubuntu.jpg" alt="install and use balena etcher on ubuntu"><br><img decoding="async" class="wp-image-17067" style="" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/04/imager-custom.jpg" alt=""></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur le deuxième bouton pour sélectionner le support (votre carte SD ou clé USB).</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Cliquez sur le troisième bouton pour démarrer le processus. Cela devrait prendre quelques minutes pour se terminer.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Commencer avec Kali Linux sur Raspberry Pi</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Peu importe la façon dont vous avez effectué l’installation sur la carte SD, vous êtes maintenant prêt à démarrer Kali Linux pour la première fois sur votre Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Premier démarrage sur Kali Linux</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Insérez simplement la carte SD dans votre Raspberry Pi et allumez-le.</strong><br>Laissez-lui quelques minutes pour effectuer certaines tâches de configuration la première fois que vous démarrez.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Kali Linux démarre directement avec l’écran de connexion.<br>Il n’y a pas de question ou quoi que ce soit, insérez, démarrez, et attendez.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Il n’y a rien d’autre à faire.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Ouvrir une session sur Kali Linux</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une fois que Kali a démarré, vous devez vous connecter :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44066,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_login_screen_2025.jpg" alt="" class="wp-image-44066"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Sur Raspberry Pi, le nom d’utilisateur par défaut de Kali Linux est “kali” avec le même mot de passe “kali”.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Attention</strong>: le clavier par défaut est configuré en <em>en-US</em>, ce qui signifie que vous devrez peut-être taper quelque chose comme “kqli” si (comme moi) vous utilisez un autre agencement.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous êtes maintenant sur le bureau de Kali Linux, et nous pouvons passer à la configuration.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44067,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_desktop_2025.jpg" alt="" class="wp-image-44067"/></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph --> <p>Il est fortement recommandé de changer rapidement ces informations de connexion.<br><strong>Vous pouvez le faire en ouvrant un terminal et en tapant la commande :</strong><br><code>passwd</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Disposition du clavier</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Si vous n’utilisez pas un clavier américain, vous pouvez le changer dans le menu principal > Paramètres > Clavier.</strong></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Rendez-vous à l’onglet “Disposition” et désactivez les paramètres par défaut du système.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Ajoutez votre layout personnalisé. </li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Définissez-le par défaut (ou supprimez la disposition US).</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Mais attention, sur l’écran de connexion, vous garderez pour le moment la disposition américaine, donc choisissez votre mot de passe en le sachant.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Connectez-vous à votre réseau (DHCP)</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Suivez cette partie seulement s’il y a un serveur DHCP sur votre réseau.<br>Sinon, ou si vous devez configurer une adresse IP statique, regardez la section suivante.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Ethernet :</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous pouvez vous connecter à un réseau Ethernet, c’est la solution la plus simple : il suffit simplement de <a href="https://raspberrytips.com/connect-ethernet-raspberry-pi/">brancher le câble RJ45 à votre Raspberry Pi</a> et d’attendre quelques secondes qu’une adresse IP lui soit attribuée, il n’y a rien d’autre à faire.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Wi-Fi :</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>La carte Wi-Fi du Raspberry Pi est prise en charge nativement, donc se connecter à un réseau sans fil ne devrait pas être compliqué non plus.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Sur le bureau de Kali, cliquez sur l’icône de réseau en haut à droite, et choisissez le SSID de votre réseau Wi-Fi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":44068,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2025/01/kali_wifi_2025.jpg" alt="" class="wp-image-44068"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Entrez le mot de passe de votre point d’accès, et attendez quelques instants pour être connecté.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Obtenir l’adresse IP actuelle :</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Quel que soit votre mode de connexion, vous pouvez vérifier l’adresse IP obtenue avec la commande ip :</strong><br><code>ip address</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Les adresses IP sont indiquées sur la deuxième ligne de chaque interface, après le mot “inet”.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":36098,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/kali_ip_addr.jpg" alt="kali ip address" class="wp-image-36098"/><figcaption class="wp-element-caption">eth0 = Ethernet, wlan0 = Wi-Fi</figcaption></figure> <!-- /wp:image --><!-- wp:paragraph {"align":"left"} --> <p class="has-text-align-left">Je recommande de ne pas activer les deux interfaces en même temps, même si cela semble fonctionner. Cette <a href="https://raspberrytips.com/mistakes-raspberry-pi-beginners-make/">erreur courante</a> a entraîné des problèmes de temps de réponse, probablement un problème de routage (je n’ai pas pris plus de temps pour regarder cela, mais la désactivation du Wi-Fi a résolu le problème).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":8127} /--> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Définir une adresse IP statique</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Une adresse IP statique vous permettra de choisir l’adresse IP associée à votre Raspberry Pi</strong>, et donc de la retrouver plus facilement plus tard.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le moyen le plus simple est d’utiliser l’interface graphique (recherchez <strong>Configuration avancée du réseau</strong> dans le menu principal), ou via <a href="https://raspberrytips.com/nmtui-linux-command/">cet outil</a> dans un terminal:<br><code>sudo nmtui</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":16504,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/03/nmtui-kali-1024x248.jpg" alt="kali linux definir ip statique" class="wp-image-16504"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dedans, vous pouvez configurer votre réseau sans fil, mais aussi définir une IP statique si nécessaire.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Mais vous pouvez aussi faire la même chose manuellement, en éditant directement le fichier de configuration :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Ouvrez un terminal ou connectez-vous avec SSH.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Pour définir une IP statique, ouvrez le fichier /etc/network/interfaces :<br><code>sudo nano /etc/network/interfaces</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Vous verrez quelque chose comme ça :<br><code>auto eth0 <br>iface eth0 inet dhcp</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Remplacez-le par quelque chose comme ça :<br><code>auto eth0 <br>iface eth0 inet static <br>address 192.168.1.200 <br>netmask 255.255.255.0 <br>gateway 192.168.1.1 <br>nameserver 8.8.8.8</code><br>Remplacez les IPs indiquées par celles qui correspondent à votre réseau.</li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Redémarrez votre Raspberry Pi ou débranchez/rebranchez le câble réseau pour mettre à jour votre IP.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Mise à jour de Kali</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme pour toute nouvelle installation, <strong>il est recommandé de mettre à jour votre système</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Kali est basé sur Debian, vous pouvez donc utiliser les <a rel="noopener" data-lasso-id="3213" href="https://raspberrytips.com/raspberry-pi-commands/" data-type="post" data-id="748" target="_blank">mêmes commandes que sur Raspberry Pi OS</a> :<br><code>sudo apt update<br>sudo apt upgrade</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Note</strong> : Lors de mes tests, j’ai reçu cette erreur en essayant de faire une mise à niveau : <br><code>Les paquets suivants contiennent des dépendances non satisfaites :<br>libwacom9 : Dépend : libwacom-common (= 2.1.0-2) mais 1.12-1 doit être installé<br>E: Paquets endommagés</code><br>J’ai corrigé ça avec :<br><code>sudo apt reinstall libwacom-common && sudo apt reinstall libwacom-bin</code><br>Ensuite, la mise à niveau du apt devrait fonctionner.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Au fait, j’avais plus de 900 paquets à mettre à niveau, donc je pense que c’est assez important de les mettre à niveau tout de suite.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Activer SSH et VNC</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Maintenant que nous avons une adresse IP fixe, il est temps de rendre notre Raspberry Pi accessible depuis un autre ordinateur du réseau.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Activer SSH</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>En théorie, SSH est déjà installé et activé par défaut.<br>Si vous n’avez pas accès, c’est probablement parce que vous devez démarrer le service :<br><code>systemctl start ssh</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous avez besoin d’aide avec SSH, <a href="https://raspberrytips.com/ssh-password-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="145" target="_blank" rel="noopener" data-lasso-id="3214">regardez ce tutoriel</a> ici.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Activer VNC</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>VNC vous permettra d’avoir accès à un bureau à distance sur votre Raspberry Pi.<br></strong>Sur les dernières versions de Kali Linux, le serveur TightVNC est déjà installé.<br>Vous avez juste besoin de définir un mot de passe :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Ouvrez un terminal ou connectez-vous via SSH.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Utilisez cette commande pour définir votre mot de passe :</strong><br><code>vncserver</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Une fois fait, cela démarrera également le service.</strong></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez maintenant vous connecter à votre Raspberry Pi sur Kali Linux avec n’importe quel VNC Viewer.<br>Par exemple, sur Ubuntu:<br><code>sudo apt install xtightvncviewer <br>xtightvncviewer 192.168.1.200:1 </code><br>Sur Windows, vous pouvez <a rel="noopener" href="https://www.tightvnc.com/" target="_blank" data-lasso-id="3215">télécharger TightVNC ici</a>. N’oubliez pas d’ajouter “:1” après l’adresse IP.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>N’oubliez pas que VNC n’est pas un protocole sécurisé, et si vous l’utilisez à la maison, c’est ok, mais dans un réseau plus étendu, il vaut mieux l’utiliser via un tunnel SSH </strong>par exemple.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez trouver plus de détails sur le <a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/remote-desktop-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="323" target="_blank" data-lasso-id="3216">bureau à distance sur Raspberry Pi</a> dans mon tutoriel lié ici. C’est pour Raspberry Pi OS, mais c’est très similaire.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"backgroundColor":"theme-palette7"} --> <p class="has-theme-palette-7-background-color has-background"><strong>Note</strong>: Si vous obtenez un écran gris lorsque vous vous connectez à Kali Linux avec VNC Viewer, vous devrez peut-être modifier le fichier de démarrage de VNC:<br><code>sudo nano ~/.vnc/xstartup<br></code>Collez ces lignes (sauvegardez l’ancien contenu si nécessaire):<br><code>!/bin/sh<br>définir SESSION_MANAGER<br>définir DBUS_SESSION_BUS_ADDRESS<br>startxfce4 &<br><br>[ -x /etc/vnc/xstartup ] && exec /etc/vnc/xstartup<br>[ -r $HOME/.Xresources ] && xrdb $HOME/.Xresources<br>xsetroot -solid grey<br>vncconfig -iconic &</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Outils Kali Linux</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ok, votre configuration de base de Kali Linux est maintenant prête. Vous pourriez évidemment l’utiliser comme un système d’exploitation de bureau standard, mais si vous avez installé Kali, c’est probablement parce que vous êtes intéressé par certaines des applications par défaut qui l’accompagnent.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Listons quelques-unes de ces applications avec une brève démonstration de leur fonctionnement. Ce n’est pas une liste exhaustive de tutoriels complets pour chacune d’elles, mais elle vous donnera une meilleure idée des possibilités.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Changer l’adresse MAC</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Une adresse MAC est un identifiant unique pour chaque adaptateur réseau</strong>. Elle dépend de chaque fabricant, et est souvent utilisée pour donner accès à une partie spécifique du réseau à des ordinateurs restreints. Un serveur DHCP peut aussi toujours attribuer la même IP à une adresse MAC.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Par exemple, vous pouvez configurer votre réseau Wi-Fi pour autoriser uniquement votre adresse MAC et empêcher toute autre connexion. J’ai un article détaillé ici sur comment <a data-lasso-id="3217" href="https://raspberrytips.com/mac-address-on-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="3244" target="_blank" rel="noopener">trouver l’adresse MAC de votre Raspberry Pi</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>MacChanger est un outil vous permettant de usurper une adresse MAC</strong>, c’est à dire, de faire comme si vous étiez une autre personne.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Utilisation</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Installez-le si nécessaire (dans mes tests, il était déjà installé):<br><code>sudo apt install macchanger</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Voir votre adresse MAC actuelle:<br><code>ip addr show eth0</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":36099,"sizeSlug":"full","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-full"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/kali_mac_address.jpg" alt="afficher l'adresse mac avec kali" class="wp-image-36099"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous aurez probablement besoin de <a href="https://raspberrytips.com/sudo-linux-command/" data-type="link" data-id="https://raspberrytips.com/sudo-linux-command/">sudo</a> pour exécuter les commandes suivantes.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Désactiver votre carte réseau:<br></strong><code>ip link set eth0 down</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Obtenir une adresse MAC aléatoire:</strong><br><code>macchanger -r eth0</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Définir une adresse MAC spécifique:<br></strong><code>macchanger -m XX:XX:XX:XX:XX:XX eth0</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Redémarrez pour réinitialiser avec l’adresse MAC standard.</li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Piratez le mot de passe Wi-Fi</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>AirCrack-NG est un des outils les plus populaires sur Kali Linux.<br>C’est une suite complète d’outils pour tester la sécurité sans fil d’un réseau.<br>Il fournit des outils pour <strong>surveiller, attaquer, tester et pirater les réseaux Wi-Fi</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Utilisation</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous devez déconnecter le Wi-Fi sur votre Raspberry Pi avant de commencer :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li>Ensuite, vérifiez que votre carte réseau est compatible (elle l’est) :<br><code>sudo airmon-ng</code><br><img decoding="async" class="wp-image-11041" style="" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2020/05/kali-airmon.jpg" alt="airmon-ng tool"></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Commencez la surveillance :<br><code>sudo airmon-ng start wlan0</code></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li>Montrez les réseaux sans fil disponibles :<br><code>sudo airodump-ng wlan0mon</code><br><img decoding="async" class="wp-image-1790" style="width: 500px;" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2019/03/airodump.gif" alt="scan wifi airodump"></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Et vous êtes prêt à partir !<br><a rel="noopener" href="https://raspberrytips.com/hacking-wifi-raspberry-pi/" target="_blank" data-lasso-id="3218"> Vous pouvez lire ce post pour obtenir plus de détails sur comment faire cela</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Force brute avec Hydra</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>La force brute est une méthode de craquage de mot de passe, qui essaie des mots de passe d’un dictionnaire ou d’autres sources, et essaie toutes les possibilités jusqu’à ce que cela fonctionne.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Hydra est un outil pour effectuer une force brute très rapide</strong> à partir du logiciel Kali Linux et qui prend en charge de nombreux protocoles.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Utilisation</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>D’abord, vous aurez besoin d’une liste de mots de passe et de les mettre dans un fichier</strong>, comme /root/passwords.txt (un par ligne).<br>Vous pouvez trouver les mots de passe les plus courants sur Internet, ou générer le vôtre.<br>Pour le test, mettez simplement quelques mots de passe aléatoires manuellement dans le fichier.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p><strong>Ensuite, vous pouvez l’essayer, par exemple, j’ai décidé de forcer le SSH sur mon ordinateur depuis le Raspberry Pi:<br></strong><code>hydra -l root -P /root/passwords.txt -t 6 ssh://192.168.222.51</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si je regarde dans mon /var/log/auth.log, je peux voir des tentatives depuis le Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:preformatted --> <pre class="wp-block-preformatted">May 22 15:55:37 ubuntu sshd[2481]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37226 ssh2 May 22 15:55:37 ubuntu sshd[2487]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37234 ssh2 May 22 15:55:39 ubuntu sshd[2482]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37228 ssh2 May 22 15:55:39 ubuntu sshd[2484]: Failed password for root from 192.168.222.31 port 37232 ssh2</pre> <!-- /wp:preformatted --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Analyseur de paquets</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Un analyseur de paquets (ou sniffer) est un outil qui peut intercepter le trafic du réseau et le capturer pour l’analyser</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Sur Kali Linux, vous pouvez <a href="https://raspberrytips.com/install-wireshark-raspberry-pi/" data-type="post" data-id="11374" target="_blank" rel="noreferrer noopener">utiliser Wireshark</a>, qui est l’outil le plus utilisé pour analyser le trafic réseau.<br>C’est un outil graphique, mais vous pouvez capturer des paquets avec tcpdump ou autre, et ensuite les ouvrir avec Wireshark.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Utilisation</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez trouver l’application dans le menu Applications, sous <strong>Découverte > Espionnage réseau</strong>:</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:list --> <ul class="wp-block-list"><!-- wp:list-item --> <li><strong>Lancez l’application, puis allez à Capture > Démarrer.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Vous verrez maintenant tous les paquets du réseau.</strong></li> <!-- /wp:list-item --> <!-- wp:list-item --> <li><strong>Cliquez sur Stop lorsque vous le souhaitez.</strong></li> <!-- /wp:list-item --></ul> <!-- /wp:list --> <!-- wp:paragraph --> <p>Ensuite, il existe de nombreuses fonctionnalités que vous pouvez utiliser pour filtrer ou analyser ce que vous avez capturé :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":4195,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2020/05/kali-wireshark.jpg" alt="analyseur de paquets wireshark" class="wp-image-4195"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Associé</strong> : <a href="https://raspberrytips.com/install-wireshark-on-ubuntu/" data-type="post" data-id="12611">Commencer avec Wireshark sur Ubuntu</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Injection SQL</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>L’injection SQL est une technique pour attaquer les applications non sécurisées, y compris l’injection de code dans des champs utilisateur qui ne sont pas protégés</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Cette technique est principalement utilisée pour attaquer les <a href="https://raspberrytips.com/best-database-raspberry-pi/">sites web qui ont des bases de données</a>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Par exemple, si vous remplacez un paramètre de l’URL, disons <em>?user=votrenom</em> par quelque chose comme <em>?user=votrenom ‘ OR 1</em>. Si le champ est mal protégé, la requête SQL sera modifiée et renverra toutes les données, pas seulement celles de votre utilisateur.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Sur Kali Linux, l’outil <strong>sqlmap permet de tester les vulnérabilités d’injection SQL</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Utilisation</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>L’outil sqlmap est très simple à utiliser.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous avez juste besoin de mettre l’URL de la page à tester, quelque chose comme ceci :<br><code>sqlmap -u https://www.domain.com/?p=123</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":36100,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2023/10/kali_sqlmap_injection-1024x359.jpg" alt="kali sqlmap injection" class="wp-image-36100"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Une fois que vous avez trouvé une faille de sécurité, il est possible d’aller plus loin avec cet outil pour voir ce que vous pouvez obtenir. Mais le meilleur à faire est de la corriger.</p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:heading {"level":3} --> <h3 class="wp-block-heading">Exploitation des vulnérabilités</h3> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p><strong>Metasploit est un outil qui vous permet de valider les vulnérabilités et de les utiliser</strong>.<br>Metasploit vous permet d’automatiser le processus de découverte et d’exploitation et vous fournit les outils nécessaires pour réaliser la phase de test manuel d’un test de pénétration.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading {"level":4} --> <h4 class="wp-block-heading">Utilisation</h4> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez le démarrer à partir du <strong>menu principal > Exécution > metasploit-framework</strong>.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cet outil initiera et démarrera un terminal qui vous permettra de l’utiliser.<br>Par exemple, vous pouvez utiliser nmap dans le framework:<br><code>db_nmap -v -sV 192.168.222.1</code></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:image {"id":11042,"sizeSlug":"large","linkDestination":"none","align":"center"} --> <figure class="wp-block-image aligncenter size-large"><img decoding="async" src="https://raspberrytips.com/wp-content/uploads/2022/04/metasploit_scan-1024x557.jpg" alt="metasploit scan" class="wp-image-11042"/></figure> <!-- /wp:image --> <!-- wp:paragraph --> <p>Vous pouvez également récupérer des informations sur une <a href="https://www.rapid7.com/db/vulnerabilities" target="_blank" rel="noopener" data-lasso-id="3219">vulnérabilité connue</a>, et essayer de l’utiliser:<br><code>db_rebuild_cache <br>search CVE-2018-9864 <br>use exploit/dossier/dossier/nom</code></p> <!-- /wp:paragraph --><!-- wp:paragraph --> <p>Remplacez le paramètre de recherche par votre identifiant de vulnérabilité et utilisez le chemin d’exploit affiché dans les résultats de la recherche.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous êtes intéressé à en apprendre plus, trouvez un bon tutoriel sur le sujet (ou <a data-lasso-id="3220" href="https://docs.rapid7.com/metasploit/msf-overview/" target="_blank" rel="noopener">lisez la documentation</a>), car il n’est pas possible d’expliquer tout dans quelques lignes courtes.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:heading --> <h2 class="wp-block-heading">Tutoriel vidéo</h2> <!-- /wp:heading --> <!-- wp:paragraph --> <p>Si vous préférez un guide visuel, visionnez notre vidéo sur comment installer Kali Linux sur votre Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:embed {"url":"https://www.youtube.com/watch?v=v1cXd0ps28Y","type":"video","providerNameSlug":"youtube","responsive":true,"className":"wp-embed-aspect-16-9 wp-has-aspect-ratio"} --> <figure class="wp-block-embed is-type-video is-provider-youtube wp-block-embed-youtube wp-embed-aspect-16-9 wp-has-aspect-ratio"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://www.youtube.com/watch?v=v1cXd0ps28Y </div></figure> <!-- /wp:embed --> <!-- wp:paragraph --> <p>Abonnez-vous pour obtenir toutes les autres vidéos concernant le Raspberry Pi :</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:shortcode --> <script src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <div class="g-ytsubscribe" data-channelid="UCy9KSeom3ngT7_FYKnNIShg" data-layout="full" data-count="hidden"></div> <!-- /wp:shortcode --><!-- wp:paragraph --> <p>Nous avons vu comment <strong>installer Kali Linux sur Raspberry Pi</strong>, y compris les premières étapes de configuration du système, et certains outils intéressants à utiliser avec cette distribution.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Comme je l’ai dit au début, cet article n’est pas exhaustif. Il existe des centaines d’applications et la plupart sont assez compliquées à prendre en main, ce qui nécessiterait un article pour chacune, mais ce n’était pas l’objectif ici (en fait, j’ai un autre <a rel="noreferrer noopener" href="https://infosecscout.com" data-type="link" data-id="https://infosecscout.com" target="_blank">site internet sur Kali Linux</a> que vous pouvez consulter si vous êtes intéressé par ce sujet).</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>J’espère que cet article a été utile. Consultez les liens ci-dessous pour plus de ressources intéressantes sur l’univers de Raspberry Pi.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:block {"ref":7885} /-->